(francès)«Assignats - Encarta». Encarta. Arxivat de l'original el 2008-10-15. [Consulta: 15 avril 2009]. «Si la dépréciation constante des assignats a engendré une perte de pouvoir d'achat pour les porteurs, elle a en parallèle permis aux couches aisées de la population (notamment la bourgeoisie) d'accéder à la propriété à un prix largement sous-estimé. En effet, le prix des biens immobiliers reste identique durant toute la période d'émission des billets. Ainsi, un assignat acheté 1 000 livres en 1789 correspond invariablement à 1 000 livres en bien immobilier même s'il ne vaut, en numéraire, qu’une somme constamment dépréciée.»
web.archive.org
(francès)«Assignats - Encarta». Encarta. Arxivat de l'original el 2008-10-15. [Consulta: 15 avril 2009]. «Si la dépréciation constante des assignats a engendré une perte de pouvoir d'achat pour les porteurs, elle a en parallèle permis aux couches aisées de la population (notamment la bourgeoisie) d'accéder à la propriété à un prix largement sous-estimé. En effet, le prix des biens immobiliers reste identique durant toute la période d'émission des billets. Ainsi, un assignat acheté 1 000 livres en 1789 correspond invariablement à 1 000 livres en bien immobilier même s'il ne vaut, en numéraire, qu’une somme constamment dépréciée.»