«"Cette province, dit Arthur Young, a été vantée par beaucoup d'écrivains français pour sa bonne culture, je n'ai pu lui découvrir ce mérite". Necker confirme ce jugement en ces termes: " Toute la partie de la Picardie un peu éloignée des villes est excessivement pauvre "» (de Lavergne, 84)[8]