« Tokyo Paranormal (10/10) Le Butô, danse avec les esprits », sur Arte, (consulté le ) : « Akaji Maro, gourou adulé du Butô, cette « danse des ténèbres », soumet alors les corps des membres de sa compagnie Dairakudakan aux volontés capricieuses d’entités païennes. »
(en) John Powers, « Once Upon a Time in the East », sur LA Weekly, (consulté le ) : « Explaining Tarantino’s every intention — he’s a man who wants to be understood — it makes a nerdish point of telling us that the glass nightclub floor at the House of Blue Leaves comes from Seijun Suzuki’s hallucinatory 1965 gangster pic Tokyo Drifter »
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Armelle Héliot, « Dairakudakan : l'emprise des signes », sur Le Figaro, (consulté le ) : « Symphonie M. ,une plongée dans des zones obscures jusqu'à la blancheur d'un cri. (...) Et puis, dans la blancheur immaculée d'une boîte, le danseur pousse un cri et ce cri est celui d'un bébé. Comme si mourir était remonter jusqu'à ce moment là d'un premier cri. »