Clark Pignedoli et Maxime Faddoul, « Recherches sur la transitude au Québec : entre absence et exploitation des savoirs trans », Genre, sexualité & société, no 22, (ISSN2104-3736, DOI10.4000/gss.5759, lire en ligne, consulté le )
« Un plafond de verre empêche la mobilité professionnelle ascendante des personnes trans expertes en théories trans et en études de genre, ce qui réduit significativement leurs chances d’être embauchées sur des postes permanents. Baril affirme à ce sujet que « l'engouement pour les réalités trans pourrait laisser croire que le nombre de personnes trans spécialistes des études trans dans les universités canadiennes se multiplie. Or ce n’est pas le cas. Malgré la multiplication de personnes trans diplômées expertes de ces enjeux, il semble que les départements ne soient pas prêts à les embaucher » (Baril, 2017b, s.p.). [...] Alexandre Baril a démontré que « les travaux qui se multiplient au Canada en études trans* sont majoritairement réalisés par des professeur·e·s chercheur·e·s cis » », alors même que les trans diplômés travaillant sur ces sujets sont de plus nombreux, Clark Pignedoli et Maxime Faddoul, « Recherches sur la transitude au Québec : entre absence et exploitation des savoirs trans », Genre, sexualité & société, no 22, (ISSN2104-3736, DOI10.4000/gss.5759, lire en ligne, consulté le )
Mickael Chacha Enriquez, « La contestation des politiques de changement d’identité de genre par les militantes et militants trans québécois », Lien social et Politiques, , p. 181-196 (DOI10.7202/1016491ar, lire en ligne)
Sklaerenn Le Gallo et Mélanie Millette, « Se positionner comme chercheuses au prisme des luttes intersectionnelles : décentrer la notion d'allié.e pour prendre en compte les personnes
concernées », Genre, sexualité & société, (DOI10.4000/gss.6006, lire en ligne)
Cha Prieur, « Les violences envers les personnes trans* à l'université. Des conséquences sur la santé mentale aux pistes pour s’en sortir. », Genre, sexualité & société, (DOI10.4000/gss.5726, lire en ligne)
(en) Alan Santinele Martino, « Cripping sexualities: An analytic review of theoretical and empirical writing on the intersection of disabilities and sexualities », Sociology Compass, , p. 1-15 (DOI10.1111/soc4.12471)
« Transitude » est « un concept forgé par Baril en 2014 » selon D. Medico et I. Wallach, Denise Medico et Isabelle Wallach, « Nécropolitique, finitude et genres trans », Frontières, vol. 31, no 2, (ISSN1180-3479 et 1916-0976, DOI10.7202/1070332ar, lire en ligne, consulté le )
« Le concept de transitude est repris par Karine Espineira» dans son texte « Transitude : pratiques et effets des réassignations post-mortem » (en 2020), selon D. Medico et I. Wallach, Denise Medico et Isabelle Wallach, « Nécropolitique, finitude et genres trans », Frontières, vol. 31, no 2, (ISSN1180-3479 et 1916-0976, DOI10.7202/1070332ar, lire en ligne, consulté le )
(en) Grace Wedlake, « Complicating Theory through Practice: Affirming the Right to Die for Suicidal People », Canadian Journal of Disability Studies, vol. 9, 4, (DOI10.15353/cjds.v9i4.670)
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(en) Alexandre Baril, « Suicidism: A new theoretical framework to conceptualize suicide from an anti-oppressive perspective », DSQ: Disability Studies Quarterly, vol. 40, 3, (lire en ligne)
(en) Eunjung Kim, Curative Violence, Duke University Press, 312 p. (lire en ligne), p. 12-13
erudit.org
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« Si la conceptualisation de la transphobie permet de révéler son caractère systémique, d’autres auteurs ont choisi de développer de nouvelles notions, comme la «cis(genre)normativité » (Bauer et al., 2009; Baril, 2009). En effet, selon Alexandre Baril, théoricien trans québécois, les néologismes cisgenres et cissexuels désignent les personnes dont le genre et le sexe correspondent au sexe qui leur a été assigné à la naissance », M. C. Enriquez, « La contestation des politiques de changement d’identité de genre par les militantes et militants trans québécois », Lien social et Politiques, no 69, 2013, p. 181–196, lire en ligne
M. C. Enriquez, « La contestation des politiques de changement d’identitéde genre par les militantes et militants trans québécois », Lien social et Politiques, no 69, 2013, p. 181–196, lire en ligne
« Transitude » est « un concept forgé par Baril en 2014 » selon D. Medico et I. Wallach, Denise Medico et Isabelle Wallach, « Nécropolitique, finitude et genres trans », Frontières, vol. 31, no 2, (ISSN1180-3479 et 1916-0976, DOI10.7202/1070332ar, lire en ligne, consulté le )
« Le concept de transitude est repris par Karine Espineira» dans son texte « Transitude : pratiques et effets des réassignations post-mortem » (en 2020), selon D. Medico et I. Wallach, Denise Medico et Isabelle Wallach, « Nécropolitique, finitude et genres trans », Frontières, vol. 31, no 2, (ISSN1180-3479 et 1916-0976, DOI10.7202/1070332ar, lire en ligne, consulté le )
id.erudit.org
Mickael Chacha Enriquez, « La contestation des politiques de changement d’identité de genre par les militantes et militants trans québécois », Lien social et Politiques, , p. 181-196 (DOI10.7202/1016491ar, lire en ligne)
« Alexandre Baril and Chantal Maillé's intersectional scholarship is thus among some of the most important and necessary to emerge in Quebec since the turn of the new millenium. their work is a promising springboard from which to begin to reassess the importance of an intersectional understanding of minority and racial issues and stakes within Quebec's plural societ y», (en) Marie Carrière, Cautiously Hopeful: Metafeminist Practices in Canada, McGill-Queen's Press - MQUP, (ISBN978-0-2280-0435-6, , p. 46-47.
Clark Pignedoli et Maxime Faddoul, « Recherches sur la transitude au Québec : entre absence et exploitation des savoirs trans », Genre, sexualité & société, no 22, (ISSN2104-3736, DOI10.4000/gss.5759, lire en ligne, consulté le )
« Un plafond de verre empêche la mobilité professionnelle ascendante des personnes trans expertes en théories trans et en études de genre, ce qui réduit significativement leurs chances d’être embauchées sur des postes permanents. Baril affirme à ce sujet que « l'engouement pour les réalités trans pourrait laisser croire que le nombre de personnes trans spécialistes des études trans dans les universités canadiennes se multiplie. Or ce n’est pas le cas. Malgré la multiplication de personnes trans diplômées expertes de ces enjeux, il semble que les départements ne soient pas prêts à les embaucher » (Baril, 2017b, s.p.). [...] Alexandre Baril a démontré que « les travaux qui se multiplient au Canada en études trans* sont majoritairement réalisés par des professeur·e·s chercheur·e·s cis » », alors même que les trans diplômés travaillant sur ces sujets sont de plus nombreux, Clark Pignedoli et Maxime Faddoul, « Recherches sur la transitude au Québec : entre absence et exploitation des savoirs trans », Genre, sexualité & société, no 22, (ISSN2104-3736, DOI10.4000/gss.5759, lire en ligne, consulté le )
« Transitude » est « un concept forgé par Baril en 2014 » selon D. Medico et I. Wallach, Denise Medico et Isabelle Wallach, « Nécropolitique, finitude et genres trans », Frontières, vol. 31, no 2, (ISSN1180-3479 et 1916-0976, DOI10.7202/1070332ar, lire en ligne, consulté le )
« Le concept de transitude est repris par Karine Espineira» dans son texte « Transitude : pratiques et effets des réassignations post-mortem » (en 2020), selon D. Medico et I. Wallach, Denise Medico et Isabelle Wallach, « Nécropolitique, finitude et genres trans », Frontières, vol. 31, no 2, (ISSN1180-3479 et 1916-0976, DOI10.7202/1070332ar, lire en ligne, consulté le )
Clark Pignedoli et Maxime Faddoul, « Recherches sur la transitude au Québec : entre absence et exploitation des savoirs trans », Genre, sexualité & société, no 22, (ISSN2104-3736, DOI10.4000/gss.5759, lire en ligne, consulté le )
« Un plafond de verre empêche la mobilité professionnelle ascendante des personnes trans expertes en théories trans et en études de genre, ce qui réduit significativement leurs chances d’être embauchées sur des postes permanents. Baril affirme à ce sujet que « l'engouement pour les réalités trans pourrait laisser croire que le nombre de personnes trans spécialistes des études trans dans les universités canadiennes se multiplie. Or ce n’est pas le cas. Malgré la multiplication de personnes trans diplômées expertes de ces enjeux, il semble que les départements ne soient pas prêts à les embaucher » (Baril, 2017b, s.p.). [...] Alexandre Baril a démontré que « les travaux qui se multiplient au Canada en études trans* sont majoritairement réalisés par des professeur·e·s chercheur·e·s cis » », alors même que les trans diplômés travaillant sur ces sujets sont de plus nombreux, Clark Pignedoli et Maxime Faddoul, « Recherches sur la transitude au Québec : entre absence et exploitation des savoirs trans », Genre, sexualité & société, no 22, (ISSN2104-3736, DOI10.4000/gss.5759, lire en ligne, consulté le )
Sklaerenn Le Gallo et Mélanie Millette, « Se positionner comme chercheuses au prisme des luttes intersectionnelles : décentrer la notion d'allié.e pour prendre en compte les personnes
concernées », Genre, sexualité & société, (DOI10.4000/gss.6006, lire en ligne)
Cha Prieur, « Les violences envers les personnes trans* à l'université. Des conséquences sur la santé mentale aux pistes pour s’en sortir. », Genre, sexualité & société, (DOI10.4000/gss.5726, lire en ligne)
« Interview avec Alexandre Baril », Interview filmée dans le cadre de l’émission « Les matins d’ici », Le Téléjournal Ottawa-Gatineau, Radio-Canada, 4 décembre 2017.
Billy Hébert, Line Chamberland et Mickaël Chacha Enriquez, Aide aux Trans du Québec, Mieux intervenir auprès des aîné.e.s trans: Rapport de recherche, Montréal, Chaire de recherche sur l’homophobie, Université du Québec à Montréal, , 146 p. (lire en ligne)