Séverine Sofio, L’art ne s’apprend pas aux dépens des mœurs ! : Construction du champ de l’art, genre et professionnalisation des artistes, 1789-1848 (thèse de doctorat en sociologie), Paris, École des hautes études en sciences sociales (EHESS), (lire en ligne), p. 650, note 369.
(en) The Estate of Walter P. Chrysler, Jr.; Old Master and 19th Century Paintings (catalogue de vente aux enchères, Sotheby's, vente no 5866, New York, ), Sotheby's, . Voir aussi la notice de l'œuvre sur Artnet.
bnf.fr
gallica.bnf.fr
Frédéric Bourgeois de Mercey, Étude sur les beaux-arts depuis leur origine jusqu'à nos jours, vol. 3, Paris, Arthus Bertrand, éditeur, (lire en ligne), p. 402 (État des médailles en or accordées, par S. M. l'empereur et roi, aux artistes qui se sont distingués au Salon de 1810).
Antoine Année, Le Livre noir de Messieurs Delavau et Franchet, ou Répertoire alphabétique de la police politique sous le ministère déplorable : ouvrage imprimé d'après les registres de l'administration, vol. 2, Paris, Moutardier, (lire en ligne), p. 149-157, en particulier p. 152-153.
Charles-Paul Landon, Annales du Musée et de l'école moderne des beaux-arts. Salon de 1814 : recueil de morceaux choisis parmi les ouvrages de peinture et de sculpture exposés pour la première fois au Louvre le 5 novembre 1814, Paris, Bureau des Annales du Musée, (lire en ligne), p. 98.
Pitre de Lisle du Dreneuc, musée Dobrée, Catalogue général des collections, Nantes, Impr. de Joubin et Beuchet, (lire en ligne), p. 3, no 9.
François-Séraphin Delpech, Examen raisonné des ouvrages de peinture, sculpture et gravure exposés au Salon du Louvre en 1814, Paris, Martinet, (lire en ligne), p. 135.
Bien que l'artiste soit nommée Antoinette Élisabeth Jeanne Bandelier sur son acte de baptême, il semble que le patronyme de la famille (Bandelier) ait déjà été suivi, dans l'usage courant, d'une particule et du nom Béfort, par lequel son père signe le registre paroissial. Dans la plupart des actes juridiques ultérieurs, les membres de la famille font bien usage du patronyme Bandelier de Béfort ou Bandelier Béfort. C'est aussi le nom utilisé par l'artiste dans une lettre adressée au directeur des Musées de France en 1821 (Archives des Musées nationaux, sous-série P18, dos. 1, lettre du 3 septembre 1821) et qui permet de connaître le patronyme véritable de Mlle Béfort, pseudonyme sous lequel elle expose au Salon de 1810 à 1819. Le patronyme dans cette lettre a été déchiffré par erreur Sandelier de Béfort par Séverine Sofio (Sofio 2009, p. 650, note 369) ou Saudelier de Befort par l'auteur de l'inventaire de la sous-série où cette lettre est conservée. Dans le milieu de l'histoire de l'art, la peintre est connue sous le nom d’Antoinette Béfort depuis les travaux de Margaret A. Oppenheimer dans les années 1990 (Oppenheimer 1996, Oppenheimer 1997).
« Thésée et Ariadne [Salon de Paris de 1812] », notice d'œuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
« Les Adieux d’Hector et d’Andromaque [Salon de Paris de 1817] », notice d'œuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ). Description du livret : « Hector va prendre Astyanax dans ses bras ; mais l’enfant, effrayé de l’éclat des armes et du panache qui flotte sur le casque de son père, se rejette sur le sein de sa nourrice ».
« Portrait d'homme [Salon de Paris de 1817] », notice d'œuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
« Céphale et Procris [Salon de Paris de 1819] », notice d'œuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).