Bernardo de Monteagudo (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Bernardo de Monteagudo" in French language version.

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  • Manuel Ravest Mora, Manuelita, la amante revolucionaria de Simón Bolívar, Madrid, Turner, (lire en ligne) Lettre de Simón Bolívar à Santander, 4-I-1823, cité également dans Echagüe, 1950, p. 14.

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  • (es) Antonio Íñiguez Vicuña, Vida de Don Bernardo Monteagudo, Santiago du Chili, Imprenta Chilena, (lire en ligne), p. 170
  • (es) Antonio Íñiguez Vicuña, Vida de Don Bernardo Monteagudo, Santiago du Chili, Imprenta Chilena, (lire en ligne), p. 174
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  • (es) Antonio Íñiguez Vicuña, Vida de Don Bernardo Monteagudo, Santiago du Chili, Imprenta Chilena, (lire en ligne), p. 185
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  • (es) Antonio Íñiguez Vicuña, Vida de Don Bernardo Monteagudo, Santiago du Chili, Imprenta Chilena, (lire en ligne), p. 176
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  • (es) Cristián Guerrero Lira, « La Propaganda Monarquista en el Gobierno de San Martín en el Perú », Revista de Estudios Históricos, Université du Chili, vol. 3, no 1,‎ (lire en ligne, consulté le )

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  • (es) Pacho O'Donell, Monteagudo, la pasión revolucionaria, Buenos Aires, Planeta, (lire en ligne)
  • (es) Pacho O'Donell, Monteagudo, la pasión revolucionaria, Buenos Aires, Planeta, (ISBN 950-74-2637-X, lire en ligne), chap. 18

    « (José Faustino Sánchez Carrión) était la même personne qui avait publié dans sa revue El Tribuno, alors que Monteagudo avait déjà été expulsé du Pérou : « Tout républicain peut se dire à présent : Depuis que Monteagudo est tombé, je ne sens plus la montagne qui m’oppressait ! ». De même, il appelait à l’exécuter « sans responsabilité aucune, si une imprudence ou son mauvais caprice devait le conduire à nouveau sur nos côtes ». »

  • (es) Pacho O'Donell, Monteagudo, la pasión revolucionaria, Buenos Aires, Planeta, (ISBN 950-74-2637-X, lire en ligne), chap. 18

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  • Manuel Rodríguez fut arrêté et ensuite assassiné à Tiltil pendant son transfert vers un deuxième centre de réclusion. Le fait fut relaté officiellement comme résultant d’une tentative de fuite. Cependant, lors d’une instruction judiciaire ultérieure, les protagonistes de ces faits avouèrent que l’ordre leur avait été donné de tuer Rodríguez. Le capitaine du bataillon chargé d’escorter le détenu, José Miguel Benavente, confessa que l’ordre de le tuer avait été donné par Bernardo O'Higgins et Antonio González Balcarce (réf.: Miguel Luis Amunátegui Aldunate (es), La dictadura de O'Higgins, Santiago : Impr. Litogr. i Encuadernación Barcelona, 1914). Pour sa part, le lieutenant Antonio Navarro, auteur matériel du coup de feu, révéla que Monteagudo était celui qui lui avait personnellement ordonné l’extermination de Rodríguez : « ... qui s’intéressait avec exactitude à cette mission (...) l’extermination du colonel don Manuel Rodríguez, pour être bénéfique à la tranquillité publique... »|Antonio Navarro (réf.: Confesión Judicial, 15 mars 1823

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  • Horacio Rodríguez Plata et Juan Camilo Rodríguez, Escritos Sobre Santander, Bogota, Biblioteca de la Presidencia de la República de Colombia, (lire en ligne), p. 6