2e marquis de Constantin de Châteauneuf. Il dut sans doute son second prénom au fait qu’il soit né à Nice le 27 octobre 1817, soit quatorze ans après le mariage de ses parents ; il fut baptisé en la cathédrale Sainte-Réparate, le 4 novembre suivant (r. p.), tenu sur les fonts baptismaux par son grand-oncle Félix, et par sa grand-mère maternelle, Rose Capello, veuve Grimaldi (r. p.). Félix [1] fut nommé vice-consul de Turquie à Nice par acte du 9 mars 1850 (F.C.VII-23), fonction qu’il occupa jusqu’en 1873 et premier adjoint au maire de 1860 à 1870, conseiller général du canton de Contes, nommé chevalier de l’Ordre impérial de la Légion d’honneur le 13 septembre 1860 (F.C.VII-28), et chevalier de Sainte-Anne de Russie le 8 juillet 1865 (F.C.VII-32 et 33). Il mourut le 11 juillet 1874, [2] villa Heraud à Cimiez, et fut inhumé au cimetière de Cimiez. [3] Il était entré aux Pénitents Blancs de Nice en 1868. Marié à Nice le 22 avril 1841 (p. c. du 17 mars), paroisse Saint-Dominique, avec Adèle Caissotti de Roubion, née en 1818, fille du comte Agapit Gallean, alias Caissotti de Roubion, gentilhomme de la Chambre du Roi, commandeur de l’Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare et de Paolina Ricci d’Andon. Décédée à l’âge de 36 ans à Drap (Alpes-Maritimes), (e. c.) [4] le 12 octobre 1854, et enterrée à Cimiez (source : http://chroniqueprovencale.blogspot.fr/2008/12/dargent-la-bande-de-gueules-accoste-de.html)
Alain Ruggiero, La Population du comté de Nice de 1693 à 1939, Nice, Serre, coll. « Actual », , 443 p. (ISBN2864103427, lire en ligne), p. 29-30
Décret impérial n°8364 du qui établit la division du département des Alpes-Maritimes en arrondissements, cantons et communes (voir Bulletin des lois de l'Empire français XIe série. Règne de Napoléon III, empereur des Français : Deuxième semestre de 1860 contenant les lois et décrets d'intérêt public et général publiés depuis le 1er juillet jusqu'au , t. XVI, Paris, Imprimerie impériale, (lire en ligne), p. 960).
Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.
Michel Bottin, « Les évolutions institutionnelles du département des Alpes-Maritimes », Cahiers de la Méditerranée, vol. 77, , p. 137-150 (lire en ligne, consulté le ).