« Une journaliste chinoise roule des yeux, la censure panique », FIGARO, (lire en ligne, consulté le )
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Harold Thibault, « Sept années de prison pour la journaliste chinoise Gao Yu » », Le Monde, 17 avril 2015. « Les magistrats l’ont cette fois-ci jugée coupable d’avoir transmis à un groupe de médias dissident installé aux États-Unis, Mingjing, qui gère une maison d’édition et un site web, une directive émise en 2013 par les dirigeants du PCC et mettant en garde ses hauts cadres contre la démocratie constitutionnelle, les valeurs universelles, la société civile, l’historiographie faisant état des erreurs du parti unique ou encore la liberté de la presse. Le fondateur de Mingjing, Ho Pin, a nié auprès de l’agence Reuters avoir reçu de Mme Gao ce texte, baptisé « document 9 ». »
Philippe Grangereau, Gao Yu, la mémoire broyée de TiananmenLibération, 8 mai 2014, « Nous ne devons jamais permettre la dissémination d’opinions qui s’opposent aux théories du Parti ou à sa ligne politique, ni la publication de points de vue contraires à ceux des dirigeants »