Eva Perón (French Wikipedia)

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aacademica.org

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  • (es) Manuel Halcón, « Doña María Eva y el Guadalquivir », ABC, Madrid, Vocento,‎ , p. 3 (ISSN 1136-0143, lire en ligne). Voir aussi les quotidiens Ya (édition du ) et La Vanguardia (édition du ).
  • (es) « ‘Amamos el corazón de España y a la justicia’. El hermoso y vibrante discurso de la esposa del presidente argentino en el Palacio de Oriente », ABC, Madrid, Vocento,‎ , p. 5, 9 & 15-17 (ISSN 1136-0143, lire en ligne).

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  • (es) Eva Perón, Discursos (Selección), Buenos Aires, Instituto Nacional de Investigaciones Históricas Eva Perón / Biblioteca del Congreso de la Nación, (lire en ligne)

bibliapobre.wordpress.com

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  • En 2017, Javier Milei, futur président de la Nation argentine, se laissa aller à faire une plaisanterie sur cet incident dans l’émission de télévision Animales sueltos, quand il évoqua une ligne de chemin de fer appelée Eva Perón et dit qu’avec un tel nom elle ne pouvait pas fonctionner bien, car « ce train est un cancer », déclenchant ainsi les rires des participants. Voir : (es) « El repudiable comentario de Milei contra Eva Perón », sur El Destape, Buenos Aires, Talar Producciones S.A., (consulté le ).
    Plus tard, le député du parti Cambiemos Fernando Iglesias et les journalistes Federico Andahazi et Eduardo Feinmann, proches du gouvernement alors en place, se saisirent du même slogan pour se moquer de la maladie de l’ancien ministre des Affaires étrangères argentin Héctor Timerman. Voir : (es) « El nuevo "Viva el cáncer": Iglesias, Andahazi y Feinmann se burlan de Timerman. Lo invitan a tratarse en Cuba, Venezuela o Irán. Un ejercicio de odio político », Buenos Aires, Quinta Columna S.A., (consulté le ).
    Toujours en 2017, un scandale éclata dans la province de Tucumán, à la suite d’un message audio d’Agustín Romano Norri de l’Union civique radicale, qui répondait à l’intendant de la capitale provinciale, Germán Alfaro. Ce jour, qui coincidait avec le 65e anniversaire de la mort d’Evita, le slogan servit une nouvelle fois pour offenser Evita : « Eva Perón, envoie-la promener, frère. Ne te vends pas, ballot. C’est une pute, une salope. Vous êtes péroniste du péronisme, pas d’Evita. Je vous respecte pour cela, mais Evita ça ne rapporte rien. Ne m’envoie pas de photos d’Evita, car Evita est un cancer. Vive le cancer ». Cf.: (es) « El Concejo evalúa una sanción para Romano Norri por un audio con insultos a Eva Duarte », La Gaceta, Tucumán, La Gaceta S.A.,‎ (lire en ligne, consulté le ).

bnf.fr

gallica.bnf.fr

books.google.com

causapopular.com.ar

ciudad.com.ar

comunidad.ciudad.com.ar

clarin.com

clarin.com

  • Il existe plusieurs témoignages sur l’activité d’Evita dans les locaux de la Fondation Eva Perón et sur l’ambiance qui y régnait. L’un de ces témoignages, assorti d’un portrait d’Evita, vient de José María de Areilza, chef d’une délégation espagnole arrivée en Argentine en 1947 :

    « La femme du président se penchait sur le cas d’une infinité de visiteurs. C’était une clameur et un méli-mélo continuels de centaines de personnes bigarrées et hétérogènes qui attendaient pendant des heures avant d’être reçues par elle. Il y avait des commissions d’ouvriers ; des délégations syndicales ; des femmes du peuple échevelées, avec des enfants ; des journalistes étrangers ; une famille gaucha avec ses ponchos de la Pampa, et le campagnard avec ses longues moustaches noires, soyeuses et flasques ; des réfugiés de derrière le rideau de fer ; des fugitifs d’Europe ; des intellectuels et des universitaires de la Baltique ; des ecclésiastiques et des moniales ; de grosses dames avec des lunettes, criaillantes et en sueur ; des étudiants ; de jeunes employés ; des joueurs de football ; des artistes de théâtre et de cirque, comme dans une vallée de Josaphat immense et fluctuante. Evita, assise derrière une longue table qui occupait le devant de l’auditorium, avait devant elle plusieurs téléphones, un monceau de dossiers, trois ou quatre assistants, deux secrétaires et, infailliblement, un ou deux ministres, un groupe de sénateurs et de députés, de gouverneurs de province, le président de la Banque centrale et une nuée de photographes et d’opérateurs de cinéma. Au milieu de cet apparent chaos, espèce de kermesse bruyante et confuse jusqu’à la folie, Evita écoutait les requêtes les plus variées qu’on lui formulait, allant d’une hausse de salaire à une convention collective, en passant par un logement familial, un ameublement, des vêtements pour enfants, des places dans une école, de la nourriture, des permis de tournage d’un film, des subventions de toute nature, des dénonciations d’abus de pouvoir, des interviews, des hommages, des réunions publiques, des inaugurations, des assemblées féminines ou la remise de cadeaux et de dons. Evita était infatigable. [...]
    Elle avait un mélange de talent naturel, d’habilété à jouer sur les intérêts opposés, un langage direct, parfois leste, avec des incrustations de lunfardo portègne, des images étincelantes, une ironie insolente, des critiques féroces, un insatiable appétit de pouvoir et de commandement, une démagogie de fait, des appels à l’esprit populaire, sans intermédiaires, la fenêtre ouverte à tous, avec une certaine féérie de l’aide et des dons apportés aux déshérités, et avec de constants correctifs et des piques à l’intention de la bureaucratie officielle, à commencer par la plus haute, qui la maintenait dans une alerte constante [...]. Elle était littéralement consommée par une grande passion, le péronisme, et, à l’intérieur de celui-ci, par la révolution sociale comprise à sa manière, moitié paternaliste, moitié justicière [...]. Elle était nationaliste par-dessus tout. »

    — José María de Areilza, Así los he visto, Barcelone, Planeta, , 407 p. (ISBN 978-8432002526), « Eva Perón », p. 191-192 & 196.

    Un autre témoin de l’activité fébrile d’Evita à la Fondation est l’écrivaine Aurora Venturini (que l’épouse de Domingo Mercante, gouverneur de la province de Buenos Aires, avait envoyée à la Fondation, où on avait besoin d’une psychologue capable de faire passer des tests d’aptitude) :

    « Elle arrivait à la Fondation à huit heures du matin et s’en allait le lendemain à quatre heures. Ses jambes gonflaient, elle enlevait ses souliers sous le bureau et restait déchaussée. [...] Pour les besoins de mes activités quotidiennes, je devais la voir de près, et elle pouvait être insupportable vue d’aussi près. Quand elle disait, à moi ou à d’autres, « je veux ceci pour demain », il fallait avoir cela prêt, sinon des insultes grossières lui échappaient, elle déchargeait toute sa rage sur celui qu’elle avait en face, elle était d’une humeur massacrante. Il était difficile de se trouver à ses côtés dans ces moments. Par la suite, je l’ai comprise : le temps qui lui restait s’épuisait, elle était sous forte pression [...] Je me souviens du gamin aux mouches. Je l’avais accompagnée dans une tournée à travers les quartiers pauvres. À cette époque, les cités étaient bonnes, on pouvait y entrer, il n’y avait pas de violence, seulement de la pauvreté, beaucoup de pauvreté. Un gamin s’est approché de nous qui avait la tête complètement noire [...] c’étaient des mouches. Evita ne put se retenir et se laissa aller à pleurer, puis demanda que nous l’emportions à l’hôpital où il guérit, mais chez elle l’impression ne s’est jamais effacée. Ces choses lui causaient une rage immense, elle en devenait folle. »

    — Aurora Venturini, « "Nadie me maltrató ni me quiso tanto como Evita" », Clarín, Buenos Aires, Grupo Clarín,‎ (lire en ligne, consulté le ).

  • (es) Patricia Narváez, « Niní, Libertad y los celos de Evita », Clarín, Buenos Aires, Grupo Clarín,‎ (lire en ligne [archive du ]).
  • (es) Alberto Amato, « El misterio del 17 de octubre del 45: ¿cuál fue el papel de Evita en ese día histórico? », Clarín, Buenos Aires, Grupo Clarín,‎ (lire en ligne [archive]).
  • « Eva, filantropía de choque », article de Rogelio García Lupo du 10 mars 2002.
  • Final de un enigma: el polémico libro "Mi Mensaje" pertenece a Eva Perón, Clarín, le 19 novembre 2006.
  • Sur la thèse de la lobotomie et sur ses tenants, voir notamment :
    • (es) Roxana Badaloni, « Aseguran que a Evita le hicieron una lobotomía antes de morir », Clarín, (consulté le )
    • (es) Sergio Rubín, « Un cadáver secuestrado, ultrajado y desterrado. Fue robado de la CGT por militares de la Revolución Libertadora », Clarín, Buenos Aires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    • (es) « Secreto de confesión: cómo y por qué la Iglesia ocultó el cuerpo de Eva Perón. Es el nuevo libro del periodista Sergio Rubín. Se presenta esta noche en la Feria del Libro y narra la operación del Ejército para esconder el cuerpo durante 14 años, con la contribución clave de la Iglesia », Clarín, Buenos Aires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    • (es) Lucio Fernández Moores, « Por deseo de la familia, los restos de Evita no estarán con los de Perón. Como querían sus hermanas, seguirán en la Recoleta y no los llevarán a San Vicente », Clarín, Buenos Aires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    • (es) « Los que odiaban a Evita. Los sectores más acomodados de la sociedad argentina sentían desprecio por la compañera de Juan Domingo Perón, sobre todo por su tarea social y redistributiva, aunque su origen también causaba rechazo en ellos », Clarín, Buenos Aires, Grupo Clarín,‎ (lire en ligne).

    edant.clarin.com

    revistaenie.clarin.com

    • (es) Raquel Garzón, « Toda la juguetería en un solo libro », Revista Cultural Ñ, Buenos Aires, Grupo Clarín,‎ (lire en ligne, consulté le ) (« Aux distributions massives de la Fondation Eva Perón (de deux à trois millions de jouets, entre la Noël et la fête des Rois chaque année, pour une population d’enfants qui en 1946 s’élevait à quatre millions et demi), s’ajoute en 1947 la disposition officielle obligeant tous les magasins de jouets du pays à offrir pendant les Fêtes des 'jouets économiques' »).

clubdel45.wordpress.com

colonbuenosaires.com.ar

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  • (es) Eva Perón / Juan O. Pons & N. Florencia Pons Belmonte, « Discursos completos », sur Constitución Web, San Juan,

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  • (en) Alexandra Kathryn Mosca, « The Enduring Legacy of Eva Perón », New York, Queensborough Community College / The City University of New York (reproduction d’un texte paru en 2001 chez Kates-Boylston Publications, Inc.).

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  • (es) « La sobrina nieta de Evita confirmó que ella y Perón se casaron en Junín », Diario Junín, Junín, Dimarco Medios,‎ (lire en ligne).

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  • En 2017, Javier Milei, futur président de la Nation argentine, se laissa aller à faire une plaisanterie sur cet incident dans l’émission de télévision Animales sueltos, quand il évoqua une ligne de chemin de fer appelée Eva Perón et dit qu’avec un tel nom elle ne pouvait pas fonctionner bien, car « ce train est un cancer », déclenchant ainsi les rires des participants. Voir : (es) « El repudiable comentario de Milei contra Eva Perón », sur El Destape, Buenos Aires, Talar Producciones S.A., (consulté le ).
    Plus tard, le député du parti Cambiemos Fernando Iglesias et les journalistes Federico Andahazi et Eduardo Feinmann, proches du gouvernement alors en place, se saisirent du même slogan pour se moquer de la maladie de l’ancien ministre des Affaires étrangères argentin Héctor Timerman. Voir : (es) « El nuevo "Viva el cáncer": Iglesias, Andahazi y Feinmann se burlan de Timerman. Lo invitan a tratarse en Cuba, Venezuela o Irán. Un ejercicio de odio político », Buenos Aires, Quinta Columna S.A., (consulté le ).
    Toujours en 2017, un scandale éclata dans la province de Tucumán, à la suite d’un message audio d’Agustín Romano Norri de l’Union civique radicale, qui répondait à l’intendant de la capitale provinciale, Germán Alfaro. Ce jour, qui coincidait avec le 65e anniversaire de la mort d’Evita, le slogan servit une nouvelle fois pour offenser Evita : « Eva Perón, envoie-la promener, frère. Ne te vends pas, ballot. C’est une pute, une salope. Vous êtes péroniste du péronisme, pas d’Evita. Je vous respecte pour cela, mais Evita ça ne rapporte rien. Ne m’envoie pas de photos d’Evita, car Evita est un cancer. Vive le cancer ». Cf.: (es) « El Concejo evalúa una sanción para Romano Norri por un audio con insultos a Eva Duarte », La Gaceta, Tucumán, La Gaceta S.A.,‎ (lire en ligne, consulté le ).

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  • (es) « Pasaron 70 años de la catástrofe de San Juan que unió a Perón y Evita », El liberal,‎ (lire en ligne).

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  • (es) Ricardo Herren, « Palacios y chabolas para Evita. Su amor por los desfavorecidos y su pasión por el lujo marcaron los últimos años de la primera dama argentina », El Mundo, Madrid, Unidad Editorial,‎ (ISSN 1697-0179, lire en ligne, consulté le ).

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  • (es) « Se recuerda a Eva Perón », El Tribuno Jujuy, Salta, Horizontes On Line SA,‎ (lire en ligne, consulté le ).

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  • « Mourning Evita », Bière de la First Lady Eva Peron (1919-1952) au ministère au Travail et à la prévoyance, à Buenos Aires lors du deuil national, le 2 août 1952, photographie Paul Popper, sur le site Getty Images gettyimages.be.

imagenesmardelplata.com.ar

infobae.com

infoleg.gob.ar

servicios.infoleg.gob.ar

issn.org

portal.issn.org

  • George Pack, peu de mois après le décès d’Evita, adressa une lettre à l’oncologue Abel Canónico, déclarant notamment :

    « Saches qu’aujourd’hui encore je déplore la perte de ma patiente. Je crois n’avoir jamais fait une opération aussi achevée ; j’étais assez optimiste et avais de grandes espérances qu’elle survivrait par accomplir la grande tâche à laquelle elle s’était vouée. Je ne connais personne qui en si peu de temps ait autant fait pour son pays ; voilà ce qui me peine vraiment, compte tenu de tout ce que cela aurait signifié pour elle d’avoir eu la possibilité de poursuivre [cette tâche] indéfiniment. Je crois que, historiquement, elle se situera au même niveau que Jeanne d’Arc. »

    — George Pack.


    Cf. (es) « Qué dice la carta », La Nación, Buenos Aires,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne).
  • (en) « Interview: Cristina Fernandez de Kirchner of Argentina », Time, New York, Time USA LLC,‎ (ISSN 0040-781X, lire en ligne, consulté le ).
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  • (es) José Capsitski, « Prehistoria de Eva Perón », Todo es Historia, Buenos Aires, no 14,‎ , p. 14 (ISSN 0040-8611, lire en ligne).
  • (es) María José Lucesole, « Por Iglesia y en secreto », La Nación, Buenos Aires, S.A. La Nación,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne).
  • (es) Marisa Montrucchio, « Hojeando al peronismo en Primera Plana: una historia sui generis, en los años sesenta », Sociohistórica / Cuadernos del CISH, La Plata, Universidad Nacional de La Plata / Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación / Centro de Investigaciones Socio Históricas, no 8,‎ , p. 62 (ISSN 1852-1606, lire en ligne).
  • (es) Ángeles Castro, « El Código Civil tuvo varias reformas desde su création. La más relevante había ocurrido en 1987, cuando se incorporó la figura del divorcio vincular », La Nación, Buenos Aires, S.A. La Nación,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne, consulté le ).
  • (es) Marisa Noemí González de Oleaga, « La alianza Franco-Perón: una aproximación critique desde la perspectiva de la dependencia, 1946-1951 », Hispania: Revista española de historia, Madrid, Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC), vol. 48, no 169,‎ , p. 630 (ISSN 0018-2141).
  • (es) Manuel Halcón, « Doña María Eva y el Guadalquivir », ABC, Madrid, Vocento,‎ , p. 3 (ISSN 1136-0143, lire en ligne). Voir aussi les quotidiens Ya (édition du ) et La Vanguardia (édition du ).
  • (es) « ‘Amamos el corazón de España y a la justicia’. El hermoso y vibrante discurso de la esposa del presidente argentino en el Palacio de Oriente », ABC, Madrid, Vocento,‎ , p. 5, 9 & 15-17 (ISSN 1136-0143, lire en ligne).
  • (es) Ricardo Herren, « Palacios y chabolas para Evita. Su amor por los desfavorecidos y su pasión por el lujo marcaron los últimos años de la primera dama argentina », El Mundo, Madrid, Unidad Editorial,‎ (ISSN 1697-0179, lire en ligne, consulté le ).
  • (es) Rodolfo F. Alzugaray, « Ramón Carrillo o la salud pública », Todo es historia, Buenos Aires, no 117,‎ , p. 7–27 (ISSN 0040-8611)
  • (es) Sandra Russo, « Un lugar seguro », Página/12, Buenos Aires, Editorial La Página S.A.,‎ (ISSN 0329-1332, lire en ligne).
  • (es) Sandra Russo, « Evita, el exceso imperdonable », Página/12, Buenos Aires, Editorial La Página S.A.,‎ (ISSN 0329-1332, lire en ligne).
  • (es) María Elena Walsh, « Evita y la destrucción del recuerdo », El Abasto, Buenos Aires, Rafael Sabini, no 155,‎ (ISSN 1514-3880, lire en ligne).
  • (es) Abel Canónico, « Enfermedad y muerte de Eva Perón », La Nación, Buenos Aires, S.A. La Nación,‎ (ISSN 0325-0946)
  • (es) « Los últimos días de Eva Perón », La Nación, Buenos Aires, S.A. La Nación,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne)
  • (es) « La razón de su vida », Desde Boedo, Buenos Aires, Mario Horacio Bellocchio,‎ (ISSN 1851-7846, lire en ligne).
  • (es) « La CGT pidió la beatificación de Evita. La central obrera pidió al arzobispado de Buenos Aires que inicie el proceso para convertirla en santa », Página/12, Buenos Aires, Editorial La Página S.A.,‎ (ISSN 0329-1332, lire en ligne)

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  • En 2017, Javier Milei, futur président de la Nation argentine, se laissa aller à faire une plaisanterie sur cet incident dans l’émission de télévision Animales sueltos, quand il évoqua une ligne de chemin de fer appelée Eva Perón et dit qu’avec un tel nom elle ne pouvait pas fonctionner bien, car « ce train est un cancer », déclenchant ainsi les rires des participants. Voir : (es) « El repudiable comentario de Milei contra Eva Perón », sur El Destape, Buenos Aires, Talar Producciones S.A., (consulté le ).
    Plus tard, le député du parti Cambiemos Fernando Iglesias et les journalistes Federico Andahazi et Eduardo Feinmann, proches du gouvernement alors en place, se saisirent du même slogan pour se moquer de la maladie de l’ancien ministre des Affaires étrangères argentin Héctor Timerman. Voir : (es) « El nuevo "Viva el cáncer": Iglesias, Andahazi y Feinmann se burlan de Timerman. Lo invitan a tratarse en Cuba, Venezuela o Irán. Un ejercicio de odio político », Buenos Aires, Quinta Columna S.A., (consulté le ).
    Toujours en 2017, un scandale éclata dans la province de Tucumán, à la suite d’un message audio d’Agustín Romano Norri de l’Union civique radicale, qui répondait à l’intendant de la capitale provinciale, Germán Alfaro. Ce jour, qui coincidait avec le 65e anniversaire de la mort d’Evita, le slogan servit une nouvelle fois pour offenser Evita : « Eva Perón, envoie-la promener, frère. Ne te vends pas, ballot. C’est une pute, une salope. Vous êtes péroniste du péronisme, pas d’Evita. Je vous respecte pour cela, mais Evita ça ne rapporte rien. Ne m’envoie pas de photos d’Evita, car Evita est un cancer. Vive le cancer ». Cf.: (es) « El Concejo evalúa una sanción para Romano Norri por un audio con insultos a Eva Duarte », La Gaceta, Tucumán, La Gaceta S.A.,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • (es) « El terremoto de San Juan, en 1944, dio origen al peronismo. En un acto realizado para ayudar a las víctimas del cataclismo se conocieron Juan Domingo Perón y Eva Duarte », La Gazeta, Tucumán, LA GACETA S.A.,‎ (lire en ligne).

lanacion.com.ar

  • George Pack, peu de mois après le décès d’Evita, adressa une lettre à l’oncologue Abel Canónico, déclarant notamment :

    « Saches qu’aujourd’hui encore je déplore la perte de ma patiente. Je crois n’avoir jamais fait une opération aussi achevée ; j’étais assez optimiste et avais de grandes espérances qu’elle survivrait par accomplir la grande tâche à laquelle elle s’était vouée. Je ne connais personne qui en si peu de temps ait autant fait pour son pays ; voilà ce qui me peine vraiment, compte tenu de tout ce que cela aurait signifié pour elle d’avoir eu la possibilité de poursuivre [cette tâche] indéfiniment. Je crois que, historiquement, elle se situera au même niveau que Jeanne d’Arc. »

    — George Pack.


    Cf. (es) « Qué dice la carta », La Nación, Buenos Aires,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne).
  • (es) María José Lucesole, « Por Iglesia y en secreto », La Nación, Buenos Aires, S.A. La Nación,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne).
  • (es) Ángeles Castro, « El Código Civil tuvo varias reformas desde su création. La más relevante había ocurrido en 1987, cuando se incorporó la figura del divorcio vincular », La Nación, Buenos Aires, S.A. La Nación,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne, consulté le ).
  • (es) Silvia Pisani, « La comunista que salvó Eva Perón. En 1947, la primera dama argentina, de visita en España, logró que Franco le conmutara la pena a una condenada a muerte », La Nación, Buenos Aires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • (es) « Los últimos días de Eva Perón », La Nación, Buenos Aires, S.A. La Nación,‎ (ISSN 0325-0946, lire en ligne)
  • À ce propos, voir le témoignage que Jorge Dansey Gazcón rédigea en 2012 (soit 57 ans après les faits) à l’intention du quotidien La Nación, et l’entretien qu’il accorda au journaliste Jorge Urien Berri pour le même journal.
  • (es) Patricia Sández, « Viva el cáncer, paredón y después... », La Nación,‎ (lire en ligne, consulté le ) (« On dit — ce sont surtout les dames pimpantes qui circulaient dans cette zone en ces jours-là qui le disent — que le graffiti a existé. Qu’elles l’ont vu. Qu’il traversait, comme un coup de fouet, une des façades latérales de la villa appelée 'de los leones', alors résidence présidentielle. Là où avait régné et où est morte Evita, et où un mur a vu pousser sur lui une moisissure de douze lettres, ¡Viva el cáncer!'. On dit —quelqu’un a dit qui se définit comme 'péroniste d’adoption' — qu’il n’a pas vu l’inscription, mais qu’il en a vu le toast d’honneur. Qu’il a vu au logis de sa grand-mère, après que la nouvelle y soit parvenue, qu’on a débouché une bouteille de champagne et qu’on a trinqué. À la vôtre. »)

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  • (es) « Histórico encuentro con Pío XII », La Raison, Buenos Aires, Groupe Clarín,‎ (lire en ligne).

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  • (es) « La CGT pidió la beatificación de Evita. La central obrera pidió al arzobispado de Buenos Aires que inicie el proceso para convertirla en santa », Página/12, Buenos Aires, Editorial La Página S.A.,‎ (ISSN 0329-1332, lire en ligne)
  • César Calcagno (avocat) et Alberto Schprejer (éditeur), « El último mensaje de Evita », Página 12, (consulté le ).
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  • Sise rue no 12, entre les rues no 68 et 69, l’église néo-romane fut déclarée Monument historique provincial en 1975, mais rayée de la liste en 1955 par le gouvernement militaire, puis rétablie à ce titre en 1987. Restauration lancée en mai 2014.Cf. Article sur le site Telam.

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