Edwy Plenel, La troisième équipe. Souvenirs de l'affaire Greenpeace, Don Quichotte, , 144 p. (lire en ligne).
cairn.info
Frédéric Bozo, « François Mitterrand et la fin de la guerre froide (1981-1991) », Matériaux pour l’histoire de notre temps, nos 101-102, , p. 39-45 (lire en ligne).
Gérard Bonnet, « Introduction. Autoanalyse ou autopsychanalyse ? », dans : Gérard Bonnet éd., L'autoanalyse. Paris cedex 14, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2018, p. 3-7. [lire en ligne].
Jacqueline Freyssinet-Dominjon, « Une mort aux quotidiens : Le portrait de François Mitterrand À la une des journaux nationaux du 9 janvier 1996 », Sociétés & Représentations, 2001-2002 (lire en ligne).
Voir aussi général Aussaresses, Pour la France : « Quant à l’utilisation de la torture, elle était tolérée, sinon recommandée. François Mitterrand, le ministre de la Justice, avait, de fait, un émissaire auprès de Massu en la personne du juge Jean Bérard qui nous couvrait et qui avait une exacte connaissance de ce qui se passait la nuit. J’entretenais les meilleures relations possibles avec lui et je n’avais rien à lui cacher… (Ce juge d’instruction) avait pour mission de tenir le cabinet de François Mitterrand, le garde des Sceaux, directement informé de ce que nous faisions, sans avoir à passer par le parquet. »
Ariane Chemin, « Hôtel du Vieux Morvan chambre 15 », Le Monde, (lire en ligne).
« Selon son ex-compagne, Patrick Amory est bien l'auteur de la photo de François Mitterrand sur son lit de mort », Le Monde, (lire en ligne).
« François Mitterrand : le mystère de la dernière photo », Le Monde, (lire en ligne).
« Le Conseil d’Etat autorise la consultation des archives de Mitterrand sur le Rwanda », Le Monde, (lire en ligne).
« Ce que révèlent les archives de François Mitterrand sur le rôle de la France au Rwanda », Le Monde, (lire en ligne).
Pierre Lepidi et Piotr Smolar, « Avant le génocide des Tutsi au Rwanda, la France a reçu des alertes claires et régulières », Le Monde, (lire en ligne).
Pierre Lepidi et Piotr Smolar, « Rwanda : la commission Duclert conclut à une faillite militaire et politique de la France de 1990 à 1994 », Le Monde, (lire en ligne).
Jacques Attali assure qu'il l'avouait : « François Mitterrand a créé les conditions légales pour que la torture soit en place. Il m'a dit début 1974 : c'est la seule erreur que je veux bien reconnaître dans ma vie. » – Voir notamment L'Expansion/L'Express du 7 mai 2001, à la suite de la publication des mémoires d'Aussaresses.
Alain LEAUTHIER, « Écoutes : les archives qui accusent Mitterrand. L'ancien chef de l’État a apposé un « vu » de sa main sur plusieurs notes de la cellule antiterroriste de l’Élysée, retrouvées dans les dossiers de son ancien patron, le préfet Prouteau », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
« [...] si les Libyens avaient dans une certaine mesure quitté le Tchad par le nord, ils y revenaient par l'est ! » — Roland Dumas, Tchad : histoire secrète d'une négociation - Propos recueillis par Georges Saunier, 14 juin 2005.
Amarillys Siassia, « La Maison du prisonnier de la Seine. Vichy et les femmes de prisonniers de guerre français, (1941-1944). Master 2 d’histoire contemporaine, Université Paris I – Panthéon Sorbonne, (dir. Danièle Voldman), 2010 », Genre & Histoire, no 8, (lire en ligne).
Serge July, « Serge July : "L'autre secret de Mitterrand : la chance" », sur RTL, : « En 1981, la chance s'appelait Jacques Chirac. La tactique suicidaire du PCF d'un côté et l'existence d'une fracture à droite, c'était une configuration de rêve. Sans la campagne anti giscardienne de Jacques Chirac, François Mitterrand n'aurait pas été élu. Le leader du RPR pense se débarrasser de Giscard en le faisant battre et il ne donne pas cher de la présidence Mitterrand et à ses ministres communistes, qui sont condamnés à très court terme. »
« Photo paru dans le no 4235 de Paris-Match » (lien WaybackMachine). La photo ne fut jamais republiée, toutes les réutilisations proviennent du numéro de Paris-Match photographié.