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Entre autres textes relevant de cette approche jugée superficielle, Angus McLaren(en) cite Vampirisme, nécrophilie, nécrosadisme, nécrophagie (1901)[619], ouvrage du docteur Alexis Épaulard, collègue d'Alexandre Lacassagne[620].
Dans un article de la Biographie universelle ancienne et moderne (1824), le polygraphe Pierre-Hyacinthe Audiffret (1773-1841) fait naître Gilles de Rais vers 1396[43]. Or le notable et érudit vendéen Charles Mourain de Sourdeval constate que Pierre-Hyacinthe Audiffret suppute faussement cette année de naissance en se basant sur le mémoire des héritiers de Gilles de Rais (document édité par Dom Hyacinthe Morice en 1744 dans ses Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne…[44]). Audiffret déduit d'après ce texte que Gilles accomplit ses vingt ans en 1416, censément l'année du décès de son père. Mourain de Sourdeval a beau interpréter de la même façon le mémoire des héritiers, l'érudit vendéen souligne que cette information ne cadre pas avec l'année du mariage de Guy de Laval et de Marie de Craon, en 1404[45]. Cette lecture incorrecte du mémoire par les deux auteurs est due à la formulation ambiguë d'un passage : « Led. M. Gilles après le décès de ſondit pere, venu à l'âge de 20. ans, prit l'adminiſtration de tout ſon bien, & en uſa deſlors à ſon plaiſir, ſans prendre le conſeil de Meſſire Jehan de Craon ſon ayeul, ſous le gouvernement duquel ſondit bien eſtoit en bail. » De fait, les héritiers n'associent pas l'année du décès de Guy de Laval-Rais à celle de la majorité de son fils ; ils signalent uniquement que Gilles de Rais dispose (fort mal) de son patrimoine dès ses vingt ans, postérieurement au décès de son père et indépendamment de l'avis de son grand-père maternel[46]. Nonobstant, l'interprétation erronée relative à l'année 1396 a été reprise plus récemment par Gérard Gros, professeur de Lettres médiévales[47],[48]. Par ailleurs, le paléographeAuguste Vallet de Viriville avance (sans citer ses sources) que Gilles voit le jour « probablement en 1406[49],[50] ». Pour Gustave Baguenault de Puchesse, il est né « au plus tôt en 1405[51] ». Eugène Bossard rappelle que le frère dominicainAugustin du Paz fixe au la date du mariage des parents de Gilles de Rais[52]. Se basant ensuite sur la durée d'une grossesse, l'abbé Bossard calcule que le fils aîné de Guy de Laval et Marie de Craon « vint au monde vraisemblablement vers le mois de septembre ou d'octobre de la même année[41] ». Vice-président de la Société académique de Brest, le docteur Jules Hébert souscrit à l'interprétation de Bossard, tout en élargissant le cadre temporel : « C'est donc aux derniers mois de cette année 1404, ou au commencement de l'année suivante, qu'il faut faire remonter la naissance de Gilles de Rays dont aucun historien n'a indiqué exactement la date[53] ». Dans son article sur « la jeunesse » du seigneur de Champtocé, le chanoine Ambroise Ledru (1849-1935), président de la Société historique de la province du Maine, reproduit plusieurs témoignages recueillis lors d'une enquête judiciaire effectuée à Angers en 1461-1462 à la demande de René de Rais. On peut y lire notamment les déclarations de deux champtocéens : un nautonier appelé Jean Rousseau ainsi qu'un sergent et garennier dénommé Michel Guiot. Le premier témoin assure avoir assisté, environ 52 ans auparavant (vers 1409 ou 1410), au baptême de Gilles de Rais à l'église paroissiale de Saint-Père de Champtocé tandis que le second témoin affirme que le seigneur de Rais naquit « il [y] a [55] ans ou environ », vers 1406 ou 1407[54]. Selon la même enquête angevine, les épousailles de Guy de Laval et Marie de Craon sont célébrées par Jean du Bellay, abbé de Saint-Florent de Saumur ; or ce dernier ne devient abbé dudit lieu qu'en 1405, relève Arthur Bourdeaut[55],[56]. Dans son édition du Cartulaire des sires de Rays, le paléographe René Blanchard (1846-1920) insiste sur le fait que les actes datés des 5 et « parlent constamment du mariage au futur et ne laisse aucun doute sur ce point » ; conséquemment, « Gilles naquit au plus tôt à la fin de 1404. » Supposant que le baron de Rais n'aurait pu commencer trop jeune sa carrière militaire avant d'accéder « bientôt aux plus hauts grades », Blanchard ajoute qu'« il ne semble pas qu'on puisse reculer de beaucoup plus d'un an après l'union de ses parents la venue au monde de Gilles. » L'éditeur scientifique du Cartulaire… juge l'année 1407 trop tardive, ne prêtant aucune foi au témoignage de Michel Guiot au motif que le sergent champtocéen date erronément le décès de Jean de Craon[57]. Le chartiste Matei Cazacu s'appuie sur les remarques de René Blanchard mais précise de surcroît que Jean de Craon et Guy de Laval devaient soumettre l'acte de leur accord au parlement de Paris préalablement au mariage. L'homologation a eu lieu le , procédure qui a retardé d'autant les noces de Guy de Laval et Marie de Craon, reportant ainsi la naissance de leur premier enfant « au plus tôt en 1405[29] ». À la suite de Cazacu, le médiéviste Jacques Chiffoleau indique 1405 comme année de naissance[58], à l'instar du médiéviste Olivier Bouzy dans la notice consacrée à Gilles de Rais au sein de l'ouvrage collectif Jeanne d'Arc : histoire et dictionnaire[59]. De même, tout en soulignant que la date de naissance est « douteuse », la médiéviste Claude Gauvard la situe « sans doute le [60] ». Enfin, la médiéviste Marcelle-Renée Reynaud exhume un document d'archives mentionnant que Gilles de Rais « est en l'aage de XIIII à XV ans » en , renseignements communiqués dans le cadre d'un droit de relief touchant la châtellenie d'Ambrières, l'une de ses propriétés du Maine dont il cède, en tant que vassal, les deux tiers des revenus à sa suzeraine Yolande d'Aragon[61].