« À Marien Defalvard (19 ans), enfin, revient d'endosser le rôle du jeune prodige de l'année : très écrit — presque trop —, à bien des égards incongru, Du temps qu'on existait séduira les uns par sa mélancolie, agacera les autres, qui y verront un insupportable déploiement d’afféterie. Qu'importe : qu'on prenne la peine d'en débattre, c'est bien le signe qu'il faut compter avec lui » (cf. Nathalie Crom, « Rentrée littéraire : nos coups de cœur (suite !) », sur telerama.fr, Télérama, ).
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Aurore Malval, « 6 mois de sursis pour l'Orléanais Marien Defalvard, ex-enfant prodige de la littérature », La République du Centre, (lire en ligne)