Mergeay, M. "Révolution au concours de Bruges," La Libre Belgique, : « Sweelinck démarre dans cette sorte d’errance chère à certains, faite de ruptures et de suspensions apparemment arbitraires mais bientôt justifiées : Mark Edwards entraîne l’écoute dans des régions inédites et fantasques, utilisant toutes les ressources de son instrument (lequel connut pourtant des problèmes de justesse), de sa virtuosité et de son imagination, avec la marque - dans l’ampleur du jeu - de l’organiste qu’il est aussi. Bach sera plus édifiant encore, bénéficiant d’un excellent choix d’instrument et mené avec une autorité souveraine. Ovation »