Philip Johnson (French Wikipedia)

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architecturaldigest.com

curbed.com

  • (en) Diana Budds, « Artists to MoMA: Take Down Philip Johnson's Name », sur Curbed, (consulté le ) : « Johnson a décrit sa participation aux rassemblements nazis en Allemagne comme « exaltante » et a tenté de fonder un parti politique fasciste aux États-Unis »

haaretz.com

  • (en) Itay Mashiach, « The Nazi who built Israel a nuclear reactor: The dark side of architect Philip Johnson », Haaretz,‎ (lire en ligne, consulté le )

issn.org

portal.issn.org

  • (en-US) Nikil Saval, « Philip Johnson, the Man Who Made Architecture Amoral », The New Yorker,‎ (ISSN 0028-792X, lire en ligne, consulté le ) :

    « Johnson était un antisémite et un fervent partisan du pouvoir de la classe dirigeante. (...) En effet, il est difficile d'imaginer un Américain aussi prospère que Johnson qui se livrait à un amour pour le fascisme avec autant d'ardeur et d'ouverture. (...) Johnson décrira plus tard Hitler comme « un envoûteur » ; en 1964, bien après avoir été contraint d'abjurer son passé nazi, il insista dans ses lettres sur le fait qu'Hitler était « meilleur que Roosevelt » »

  • (en-US) Sarah Bahr, « Artists Ask MoMA to Remove Philip Johnson's Name, Citing Racist Views », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ) :

    « Il a également défendu le racisme et les points de vue de la suprématie blanche dans sa jeunesse. Les sympathies nazies de Johnson, par exemple, ont été bien documentées (...) »

newyorker.com

  • (en-US) Nikil Saval, « Philip Johnson, the Man Who Made Architecture Amoral », The New Yorker,‎ (ISSN 0028-792X, lire en ligne, consulté le ) :

    « Johnson était un antisémite et un fervent partisan du pouvoir de la classe dirigeante. (...) En effet, il est difficile d'imaginer un Américain aussi prospère que Johnson qui se livrait à un amour pour le fascisme avec autant d'ardeur et d'ouverture. (...) Johnson décrira plus tard Hitler comme « un envoûteur » ; en 1964, bien après avoir été contraint d'abjurer son passé nazi, il insista dans ses lettres sur le fait qu'Hitler était « meilleur que Roosevelt » »

nymag.com

nytimes.com

  • (en-US) Sarah Bahr, « Artists Ask MoMA to Remove Philip Johnson's Name, Citing Racist Views », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ) :

    « Il a également défendu le racisme et les points de vue de la suprématie blanche dans sa jeunesse. Les sympathies nazies de Johnson, par exemple, ont été bien documentées (...) »

tabletmag.com

vanityfair.com

  • (en-US) Condé Nast, « Famed Architect Philip Johnson's Hidden Nazi Past », Vanity Fair,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Comment Johnson, pratiquement seul parmi ses associés fascistes, a-t-il réussi à éviter une inculpation ? La réponse réside peut-être dans l’influence d’amis puissants. Un homme en particulier aurait très bien pu être influent : (...) Nelson Rockefeller, qui a bien connu Johnson depuis ses années à New York. »