Patricia Jolly, « Pesticides : des Nicaraguayens se tournent vers la France pour faire appliquer un jugement », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
(en) Histoire de Shell dans l'expansion de l'après-guerre, site Internet du groupe Shell (consulté le ). À noter que ce site de Shell y indique que la création du comité des managing directors date de la fin des années 1950 ; on constate que cette assertion est erronée si l'on consulte la liste des dirigeants du groupe depuis 1897 évoquée ci-avant, laquelle fait débuter ce type de fonction dès 1946.
En revanche, en France métropolitaine, essentiellement en raison de la concurrence importante subie de la part des magasins à grande ou moyenne surface qui se sont mis à vendre des carburants dans les années 1970 — « à prix cassés » : avec une marge bénéficiaire très faible, voire nulle et dans certains cas négative, i.e. « à perte », compensée par les marges sur les autres produits de grande consommation vendus à l'intérieur des magasins —, le réseau de stations-service Shell s'est considérablement réduit en taille vers la fin de la première décennie 2000, quittant les villes, les routes à faible trafic, pour ne représenter qu'environ 90 points de vente, situés sur les autoroutes, les voies express, quelques routes nationales ou des centres routiers, où le trafic routier est très important ; pour mémoire, le réseau Shell en France comportait environ 2 500 stations dans les années 1980 ou encore 1 200 à la fin des années 1990. Pour le dénombrement des stations-service du réseau actuel sur le territoire français métropolitain, cf. Carte de France du réseau de stations-service Shell.
Les chantiers STX Europe dans les années 1970« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), site Internet de STX Europe — Ce site indique à tort que les quatre pétroliers étaient construits pour Shell ; c'est inexact car le Prairial et le Pierre Guillaumat étaient destinés à la Compagnie nationale de navigation.
(en) « Revealed: the 20 firms behind a third of all carbon emissions », The Guardian, (lire en ligne).
web.archive.org
Les chantiers STX Europe dans les années 1970« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), site Internet de STX Europe — Ce site indique à tort que les quatre pétroliers étaient construits pour Shell ; c'est inexact car le Prairial et le Pierre Guillaumat étaient destinés à la Compagnie nationale de navigation.