Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général d'Île-de-France. Le Gouvernement de l'Isle de France par Damien de Templeux, 1663.[1]
Le Nain de Tillemont, Vie de Saint Louis, publiée par la société de l'histoire de France, t. IV, p. 68 et 209, [lire en ligne].
Journal d'agriculture et d'horticulture. Réd. par le Comité central d'agriculture de la Côte-d'Or p.203 à 212 [3], article de M. Borie du journal La Presse.
Décret au sujet de la chapelle Saint Thérèse de Trappes pour permettre en la chapelle Sainte Thérèse de Trappes l’exercice du culte à la paroisse orthodoxe dépendant de l’Association cultuelle orthodoxe Saint Jean Cassien-Sainte Geneviève pour une durée de 3 ans à compter du 18 juin 2012
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Léon Hennet, Histoire de Trappes : Notes historiques sur Trappes, Paris, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », 1990. ( (ISBN2-87760-405-5), (ISSN0993-7129), notice BnF no FRBNF35418506b), p. 8.
Denis Cosnard, « A Trappes, le maire de gauche réélu dès le premier tour après une campagne très tendue : Ali Rabeh, un proche de Benoît Hamon, dont l’élection en 2020 avait été invalidée, a amélioré son score malgré l’alliance inattendue de ses deux principaux opposants », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )« Réélection dès le premier tour, face à une droite zemmourisée et clientéliste. Quelle fierté, merci aux Trappistes ! », s’est réjoui Ali Rabeh à l’annonce des premiers résultats. Son succès maintient l’ancrage à gauche de cette ville, gérée depuis 1945 par les communistes, les socialistes puis les amis de Benoît Hamon. Il a été salué par Julien Bayou, secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts, comme par Jean-Luc Mélenchon, le candidat de La France insoumise à l’élection présidentielle ».
Denis Cosnard, « À Trappes, la réélection du maire de gauche de nouveau contestée : Après avoir « pris acte » de sa défaite, Othman Nasrou, un lieutenant de Valérie Pécresse, a finalement déposé un recours contre l’élection d’Ali Rabeh à la tête de la ville », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )« En attendant la décision du tribunal de Versailles, cette salve judiciaire entretient la tension politique déjà très vive à Trappes. Depuis plus d’un an, Ali Rabeh est accusé par ses opposants de gérer la ville de façon autoritaire, partisane, et, plus grave, d’avoir lâché la République face aux islamistes. Il mènerait une politique « clientéliste ». Accusations infondées, assure l’intéressé, qui critique à son tour le clientélisme supposé d’Othman Nasrou et les méthodes d’une droite « zemmourisée ».
Yves Fossey, « Municipales à Trappes : Guy Malandain (DVG) s’accroche à son fauteuil, ils veulent tous le faire chuter : Quatre prétendants veulent déloger le maire (DVG), 82 ans, en place depuis 2001 et candidat à un quatrième mandat », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Soutenu par LREM et le PS, Guy Malandain met en avant sa gestion et la bonne situation financière de la commune ».
Yves Fossey, « Yvelines : le maire de Trappes épinglé pour « des manquements importants aux règles du code électoral » : Selon la commission nationale de contrôle des comptes de campagne et des financements politiques, Ali Rabeh (Génération.s), à la tête d’une association restée active entre les deux tours des élections municipales, aurait dû se mettre en retrait », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Il est en fait reproché à Ali Rabeh d'avoir mené des actions auprès de personnes fragiles durant le confinement entre la mi-mars et la mi-mai. Et ce, en utilisant l'association Cœur de Trappes qu'il présidait à l'époque ».
Jeanne Cassard, « Trappes : la justice annule le résultat des élections municipales : Un recours avait été déposé par une liste d’opposition accusant notamment le maire élu, Ali Rabeh (Génération.s), de ne pas avoir déclaré tous ses comptes de campagne », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Contacté, Ali Rabeh (GE), est « en total désaccord avec la décision, à [ses] yeux infondée, prise par le tribunal administratif ». « Serein et positif », il a immédiatement fait appel du jugement. En attendant la décision du Conseil d'Etat qui sera rendue dans les six mois, Ali Rabeh reste maire de Trappes ».
Jeanne Cassard, « Trappes : le Conseil d’État annule l’élection municipale : Les électeurs de Trappes vont devoir à nouveau se rendre aux urnes pour élire leur maire. Le Conseil d’État a annulé ce mercredi l’élection municipale de 2020, reprochant à Ali Rabeh d’avoir « fait la promotion de sa candidature » entre les deux tours. Pas déclaré inéligible pour autant, Ali Rabeh est candidat à sa réélection tandis qu’Othman Nasrou appelle pour l’heure à un large rassemblement », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
Virginie Wéber, « Trappes : le tribunal administratif valide l’élection municipale partielle : L’élu d’opposition Othman Nasrou (Libres !), battu à l’élection municipale partielle en octobre dernier, avait suspecté des irrégularités lors de la campagne. Son recours a été rejeté ce mardi par la juridiction de Versailles », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
Maxime Fieschi, « Ali Rabeh, le nouveau maire de Trappes, prêt à « relever d’immenses défis » : À 35 ans, ce proche de Benoît Hamon succède, non sans crispations, à Guy Malandain dont il était adjoint à la Jeunesse et aux Sports », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Mais il n'en fut rien. Guy Malandain (DVG) et son successeur à la tête de la ville, Ali Rabeh ( Génération.s), sont désormais irréconciliables. Le premier accuse l'autre d'avoir trahi son chef de file, de lui avoir « planté un poignard dans le dos » en se lançant face à lui. Ali Rabeh, lui, reproche à son prédécesseur de s'être représenté malgré sa promesse de ne pas le faire et d'avoir trahi ses idées de gauche pour se rapprocher de LREM ».
Maxime Fieschi, « Municipales à Trappes : un nouveau maire et déjà des frictions : Ali Rabeh est devenu le premier magistrat de Trappes et a assuré travailler pour l’union de la ville. Mais la campagne difficile a laissé des traces qui se sont déjà fait jour », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
Jeanne Cassard, « Ali Rabeh : « J’ai défendu Trappes, ses habitants et son image, c’est ce que l’on attend d’un maire » : Élu à la tête de la mairie dès le premier tour ce dimanche, Ali Rabeh (Génération.s) est de nouveau aux commandes à Trappes. Après une campagne violente où tous les coups étaient permis, il revient avec nous sur son élection et annonce les priorités de son mandat », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
Alain Piffaretti, « Trappes tourne la page Malandain : Le maire sortant Guy Malandain (DVG) s'est incliné face à son ex-adjoint Ali Rabeh (Génération. s) qui à 35 ans devient le nouveau maire de Trappes », Les Échos, 26/6/2020 mis à jour le 29/6/2020 (lire en ligne, consulté le ).
Alain Auffray, « Quand le PC range ses vieux maires. A 65 ans, le populaire Bernard Hugo laisse Trappes à un adjoint », Libération, (lire en ligne, consulté le )« Animé du légitime souci de promouvoir la jeunesse, le maire communiste de Trappes, Bernard Hugo, 65 ans, a fait savoir à son conseil municipal qu'il envisageait de démissionner. Après trente ans de bons et loyaux services dans le bastion rouge des Yvelines, il s'est choisi un dauphin. Jacques Monquaut, 49 ans, adjoint délégué à l'urbanisme, est élu depuis 1989. Mais il est encore largement méconnu de ses futurs administrés ».
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Le blason de 1962 était timbré d'une couronne murale à trois tours crénelées d'or et soutenu par deux gerbes de blé d'or assemblées en pointe passant sous l'écu et le brochet symbolise l'étang de Saint-Quentin. « Présentation de la ville de Trappes, », sur fr.topic-topos.com (consulté le ).
« Trappes, la poudrière islamiste », Valeurs actuelles (consulté le ). Cette affirmation n'engage que l'auteur de la phrase qui généralise une situation, certes préoccupante, mais dans laquelle un très grand nombre de Trappistes ne se reconnaissent pas compte tenu des dynamiques en cours et du travail mené par les acteurs sociaux sur le terrain.
« Trappes : Bardella demande la mise sous tutelle de la ville et la révocation du maire : Alors qu’Ali Rabeh vient d’être réélu à la mairie de Trappes (Yvelines), Jordan Bardella réclame que l’édile hamoniste, soupçonné de clientélisme islamiste, soit révoqué et sa ville mise sous tutelle », Valeurs actuelles, (lire en ligne, consulté le )« Dans son communiqué, Jordan Bardella réclame la « révocation du maire élu de Trappes par décret en Conseil des ministres ». Cependant, pas de nouvelles élections municipales au programme : pour le président du RN, il faut « la mise sous tutelle par l’État » de Trappes. Une mesure exceptionnelle que la loi française autorise en cas de « graves dysfonctionnements financiers », mais que le RN propose d’étendre « aux mairies qui favorisent le développement du communautarisme de quelque manière que ce soit ».
Association républicaine des anciens combattants et victimes de, L'Algérie, nous y étions : témoignages et récits d'anciens combattants, Paris, Editions du réveil des combattants, (ISBN2910764303, 9782910764302 et 2914676018, OCLC49028129, lire en ligne), p. 75 à 89.
Trappes, Monographie communale de l'instituteur, 1899, Archives départementales des Yvelines. Pour les expositions universelles de 1889 (année de la tour Eiffel) et de 1900, tous les instituteurs avaient pour mission de rédiger une présentation de leur village la plus complète possible (histoire, population, géologie, agriculture, industrie, flore, faune, etc.) afin de présenter la France aux visiteurs qui venaient du monde entier. Ces documents rédigés à la plume, et accompagnés de dessins étaient appelés des monographies (désormais consultables sur écran dans les archives départementales) 1T mono 12/6.