Si les noms des auteurs n'étaient pas présentés, celui de Delbos se trouve, dans la quatrième édition (1932), sur les notes de discussion : Definition (p. 147) [1] et Hallucination (p. 289) [2].
Delbos gardait une amitié profonde avec sa famille. Le livre L'esprit philosophique de l'Allemagne et la pensée française était dédié à son fils Joseph Ollé-Laprune, tué par l'armée allemande le 16 février 1915 [lire en ligne]
La Grande Encyclopédie, tome XXVI, 1899 selon Jean-Louis Maisonhaute [lire en ligne] ; Liste de MM. les collaborateurs : « Delbos (Victor), professeur de philosophie au Lycée Henri IV. » [6].
Revue de métaphysique et morale, tome 23-4, juillet 1916, p. 657 - 658 ; réédition par Élie Halévy et al., Correspondance et écrits de guerre 1914 - 1918, p. 307 - 308, 2014 [8]
Christophe Prochasson et Anne Rasmussen, Au nom de la patrie : Les intellectuels et la Première Guerre mondiale (1910 - 1919), p. 130, 2020 [9]
Abbé Destrem, Panégyrique de saint Louis de Gonzague — voir la citation au début, p. 391, 1858 [12]
Étienne Gilson, Le philosophe et la théologie, p. 58, 1960 [16]
Pie Duployé, La religion de Péguy, p. 529, 1978 [17]
Peter Redpath (éd.), A Thomistic Tapestry : Essay in Memory of Étienne Gilson, p. 119, 2003 (en) [19]
Laurent Fedi, Kant, une passion française 1795 - 1940, p. 504, 2018 [20]
Alexandre Matheron qui donna l'introduction de cette édition, Les deux Spinoza de Victor Delbos, p. 311, 2007 [22]
Imprimerie nationale, Bulletin des lois, tome 111, p. 649, décret n° 19293, 1915 [27]
Christophe Charle, « 31. Delbos (Étienne, Marie, Justin, Victor) », Publications de l'Institut national de recherche pédagogique, vol. 2, no 1, , p. 58–59 (lire en ligne, consulté le ).
Edmond Durtelle de Saint-Sauveur, Note bibliographique pour le livre de Joannès Wehrlé, Victor Delbos, 1932 ; dans la Revue d'histoire de l'Église de France, tome 83, p. 260, 1933 [21]