무라비트 왕조 (Korean Wikipedia)

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  • Ould Cheikh, Abdel Wedoud; Saison, Bernard (1987년 1월 1일). “Vie(s) Et Mort(s) De Al-Imām Al-Hadrāmi: Autour de la postérité saharienne du mouvement almoravide (11e–17e s.)”. 《Arabica》 (영어) 34 (1): 48–79. doi:10.1163/157005887X00342. ISSN 1570-0585. Au milieu du Ve siecle H/XIe siecle ap. J.C., l'écrivain andalou al-Bakri fait état de l'existence à «Arki» d'une «forteresse...au milieu de 20 000 palmiers...édifiée par Yannu Ibn 'Umar al-Ḥāğ, frère de Yaḥya Ibn 'Umar... ». Cette brève mention est vraisemblablement a l'origine du qualificatif d'«almoravide» qu'en l'absence de toute investigation proprement archéologique, les historiens modernes ont généralement attribué aux ruines apparentes du tell archéologique d'Azūgi; nous y reviendrons. Au siecle suivant, al-Idrisi (1154) localise la «première des stations du Sahara...au pays des Massūfa et des Lamṭa» ; étape sur un itinéraire transsaharien joignant Siğilmāsa a Silla, Takrūr ou Gāna, Azūki, ou Kukdam en «langue gināwiyya des Sudan», abrite une population prospère. Pour brève et à nos yeux trop imprécise qu'elle soit, l'évocation d'al-Idrisi est néanmoins la plus étoffée de celles qui nous sont parvenues des auteurs «médiévaux» de langue arabe. Aucun écrivain contemporain d'al-Idrisi, ou postérieur, qu'il s'agisse d'al-Zuhri (ap. 1133), d'Ibn Sa'id et surtout d'Ibn Haldun—qui n'en prononce même pas le nom dans son récit pourtant complet de l'histoire du mouvement almoravide—ne nous fournit en effet d'élément nouveau sur Azūgi. À la fin du XVe siècle, au moment où apparaissent les navigateurs portugais sur les côtes sahariennes, al-Qalqašandi et al-Himyari ne mentionnent plus «Azūqi» ou «Azīfi» que comme un toponyme parmi d'autres au Bilād al-Sudān... Les sources écrites arabes des XIe–XVe siècles ne livrent donc sur Azūgi que de brèves notices, infiniment moins détaillées et prolixes que celles dont font l'objet, pour la même période et chez ces mêmes auteurs, certaines grandes cités toutes proches, telles Awdagust, Gāna, Kawkaw, Niani, Walāta, etc... Faut-il voir dans cette discrétion un témoignage «a silentio» sur l'affaiblissement matériel d'une agglomération—une «ville» au sens où l'entendent habituellement les auteurs cités?—dont al-Idrisi affirme effectivement qu'elle n'est point une grande ville»? 

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  • Vanacker, Christiane (1979). 〈La Mauritanie jusqu’au XXe siècle〉. 《Introduction à la Mauritanie》 (프랑스어). Institut de recherches et d’études sur les mondes arabes et musulmans, Éditions du CNRS. ISBN 978-2-271-08123-0. Il est souhaitable que les fouilles prévues à Azougui, première « capitale » fondée par les Almoravides (avant Marrakech) puissent être prochainement réalisées. 

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  • 그 이전에 제기된 또 다른 주장에 따르면, 이 명칭은 아달라흐 이븐 야신이 그의 생애 전반기에 공부를 하기 위해 찾아갔던 아글루 마을의 리바트(왁가그 이븐 잘루가 세운)와 관련이 있을 수도 있다고 한다. 그러나 13세기 모로코의 전기 작가 알 타딜리와 그 이전인 12세기의 학자 카디 아야드는 수스에 있던 왁가그 이븐 잘루의 리바트 '다르 알 무라비틴'이 아달라흐 이븐 야신으로 하여금 자신의 추종세력들의 이름을 짓는 데에 영감을 주었을 수 있다고 지적했다.[23][24][25]
  • 이것은 베르베르인들이 얼굴 가리개, 또는 베일(리탐)을 쓰고 있어 아랍인들이 이렇게 이름붙인 것이다.[29]

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  • Messier, Ronald A. (2009). 〈Almoravids〉. Fleet, Kate; Krämer, Gudrun; Matringe, Denis; Nawas, John; Rowson, Everett. 《Encyclopaedia of Islam, Three》. Brill. ISBN 978-9004181304. ISSN 1873-9830. 
  • Ould Cheikh, Abdel Wedoud; Saison, Bernard (1987년 1월 1일). “Vie(s) Et Mort(s) De Al-Imām Al-Hadrāmi: Autour de la postérité saharienne du mouvement almoravide (11e–17e s.)”. 《Arabica》 (영어) 34 (1): 48–79. doi:10.1163/157005887X00342. ISSN 1570-0585. Au milieu du Ve siecle H/XIe siecle ap. J.C., l'écrivain andalou al-Bakri fait état de l'existence à «Arki» d'une «forteresse...au milieu de 20 000 palmiers...édifiée par Yannu Ibn 'Umar al-Ḥāğ, frère de Yaḥya Ibn 'Umar... ». Cette brève mention est vraisemblablement a l'origine du qualificatif d'«almoravide» qu'en l'absence de toute investigation proprement archéologique, les historiens modernes ont généralement attribué aux ruines apparentes du tell archéologique d'Azūgi; nous y reviendrons. Au siecle suivant, al-Idrisi (1154) localise la «première des stations du Sahara...au pays des Massūfa et des Lamṭa» ; étape sur un itinéraire transsaharien joignant Siğilmāsa a Silla, Takrūr ou Gāna, Azūki, ou Kukdam en «langue gināwiyya des Sudan», abrite une population prospère. Pour brève et à nos yeux trop imprécise qu'elle soit, l'évocation d'al-Idrisi est néanmoins la plus étoffée de celles qui nous sont parvenues des auteurs «médiévaux» de langue arabe. Aucun écrivain contemporain d'al-Idrisi, ou postérieur, qu'il s'agisse d'al-Zuhri (ap. 1133), d'Ibn Sa'id et surtout d'Ibn Haldun—qui n'en prononce même pas le nom dans son récit pourtant complet de l'histoire du mouvement almoravide—ne nous fournit en effet d'élément nouveau sur Azūgi. À la fin du XVe siècle, au moment où apparaissent les navigateurs portugais sur les côtes sahariennes, al-Qalqašandi et al-Himyari ne mentionnent plus «Azūqi» ou «Azīfi» que comme un toponyme parmi d'autres au Bilād al-Sudān... Les sources écrites arabes des XIe–XVe siècles ne livrent donc sur Azūgi que de brèves notices, infiniment moins détaillées et prolixes que celles dont font l'objet, pour la même période et chez ces mêmes auteurs, certaines grandes cités toutes proches, telles Awdagust, Gāna, Kawkaw, Niani, Walāta, etc... Faut-il voir dans cette discrétion un témoignage «a silentio» sur l'affaiblissement matériel d'une agglomération—une «ville» au sens où l'entendent habituellement les auteurs cités?—dont al-Idrisi affirme effectivement qu'elle n'est point une grande ville»? 
  • Balafrej, Lamia (2012). “Saracen or Pisan?”. 《Ars Orientalis》 42: 31–40. ISSN 0571-1371. JSTOR 43489762. 
  • Leube, Georg (2016년 4월 12일). “Sacred Topography: A Spatial Approach to the stelae of Gao-Saney”. 《Islamic Africa》 7 (1): 44–59. doi:10.1163/21540993-00701005. ISSN 0803-0685. 
  • Latham, J. D. (1978년 10월 1일). “The Interpretation of a Passage on Scales (Maw Āzin) in an Andalusian Hisba Manual”. 《Journal of Semitic Studies》 23 (2): 283–290. doi:10.1093/jss/23.2.283. ISSN 0022-4480. 
  • Draper, Peter (2005). “Islam and the West: The Early Use of the Pointed Arch Revisited”. 《Architectural History》 48: 12. doi:10.1017/s0066622x00003701. ISSN 0066-622X. S2CID 194947480.