Official Conselh Generau d'Aran website: Eth Plen deth Conselh Generau d'Aran a aprovat aué per unanimitat era letra oficiau der Imne Nacionau d'Aran, pr'amor qu'enquia ara non ne disposaue, a despièch qu'era cançon popular Montanhes Araneses siguesse reconeishuda coma imne d’Aran en 1993, declaracion que non venguec acompanhada dera letra corresponenta.[4]
Nemausensis.com: Certains historiens le font remonter à Gaston Phébus qui l'aurait dédié à son épouse pour se faire pardonner son comportement volage.[2]
The sign reads: Le Docte Collège des Consuls de Nîmes et la ville de Nîmes ont planté cet amandier pour que la Font de Nimes se perpétue le 9 février 2002.[5]
TFC website: Depuis aujourd’hui, le TFC a trouvé un hymne, son hymne. Et le choix s’est porté sur « Se Canto », la ballade amoureuse la plus populaire de la région, que les plus fervents reprennent depuis toujours dans le virage Est.[6]
Font per la versió atribuida a les Valls Occitanes: [[13]]
whebdo-st-genies.com
Whebdo: Gaston Phébus (1331-1391): Devint en 1343 Comte de Foix et seigneur de Béarn sous le nom de Gaston III. Prit le surnom de Phébus (soleil) pour illustrer sa blondeur et son désir de puissance. C'était un homme d'état puissant et indépendant, passionné de chasse et... de femmes. C'est pour se faire pardonner ses nombreuses infidélités qu'il écrivit ce chant destiné à son épouse retirée dans sa famille en Espagne.[3]
wikiwix.com
archive.wikiwix.com
Versió amb forces canvis però que cobreix altres estrofes: [[12]]
worldcat.org
Romania cantat : Lieder in alten und neuen Chorsätzen mit sprachlichen, literarischen und musikwissenschaftlichen Interpretationen. 364: Tübingen : G. Narr Verlag, 1980. «[...] l'air et certains versets de cette chanson qui connaît de très nombreuses variantes, sont encore assez universellement connus. [...] La connaissance de cette chanson est reconnue sans gêne, on la chante souvent avec une certaine fierté. [...] L'intérêt particulier de la chanson Aquelas Montanhas [...] provient avant tout du fait qu'elle est à peu près la seule chanson occitane répandue à travers plusieurs dialectes d'oc qui soit encore connue d'un grand public.»