“Les ‘héros’ de La confiance règne sont deux parasites, sans scrupules, éducation ni conscience politique et sociale […]. [I]l se révèle assez réjouissant pour peu qu’on ait gardé un rien d’esprit Hara Kiri […]. Il est surtout porté par une comédienne époustouflante, Cécile de France, qui atteint des sommets en composant son rôle de Bécassine triviale.” Jean-Luc Douin: “La confiance règne”: l’union réjouissante de deux domestiques au grand dam de la bourgeoisie. In: Le Monde, 9. November 2004.
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“Faute d’idée régénératrice, ses personnages ne sont que d’insipides esquisses, sacrifiées sur l’autel d’un récit filandreux où l’humour provocateur pas plus que la pantalonnade ‘nouveau riche’ ou le sentimentalisme poussif […]. Cécile de France déploie une énergie considérable pour sembler crédible en fille truculente et facile; alors que Vincent Lindon, lui, se fourvoie dans la peau d’un personnage de brave couillon qui ne lui était à l’évidence pas destiné.” Gilles Renault: Chatiliez grippé. In: Libération, 10. November 2004.
“Si le démarrage est pétaradant, la suite tourne en rond à force de se répéter. Autre faute de goût: l’interprétation de Vincent Lindon, en escroc benêt, qui va bien au-delà du ridicule. Reste Cécile de France, merveilleuse rescapée de cette erreur de parcours.” Eric Libiot: La confiance règne. (Memento vom 22. Oktober 2015 im Internet Archive) In: L’Express, 8. November 2004.