“Cécile de France, remarquable, son rôle le plus sombre […] Les frères Malandrin, eux, témoignent d’un beau sens de l’architecture graphique mais dilapident le potentiel dérangeant du film dans leur scénario, trop mince pour tenir la durée.” Nicolas Schaller in TéléCinéObs/Le Nouvel Observateur zit. nach allocine.fr
“Il a aussi celui d’avoir une première scène très belle […]. Ambiance angoissante, intrusion d’éléments oniriques, confusion entre les temporalités, il lorgne fort du côté de David Lynch. Malheureusement, cette proposition baroque est au service d’un récit fabriqué, qui sonne un peu creux. [… L]e film […] ne semble pas toujours savoir lui-même ce qu’il raconte.” Isabelle Regnier: “Où est la main de l’homme sans tête”: un drame psychologique à la sauce surréaliste belge. In: Le Monde, 19. Mai 2009.
lexpress.fr
“[O]n pense ici à un Je vais bien, ne t’en fais pas en beaucoup plus alambiqué, là à du David Lynch beaucoup moins inspiré … [C]ette production belge, pourtant servie par de sacrés bons comédiens.” Christophe Carrière: Où est la main de l’homme sans tête. In: L’Express, 20. Mai 2009.
“Où est la main de l’homme sans tête, titre dada, cache un film précieux. […] Où est la main de l’homme sans tête intrigue et happe – réservant ‘en sous-main’ l’un des chocs les plus commotionnants et plastiques de la saison.” Vgl. “Où est la main de l’homme sans tête”. In: Libération, 27. Mai 2009.