“Stijn Coninx signe un portrait touchant […] avec une empathie certaine […]. Stijn Coninx s’est heureusement gardé de verser dans la facilité spectaculaire du portrait ‘trash’. Au contraire, le cinéaste propose une oeuvre pudique […]. Cécile de France, parfaite dans ce rôle […]. [L]eur suicide – que le film évoque avec pudeur mais aussi dans une sorte de sérénité dérangeante.” Arnaud Schwartz, Louis de Courcy: Soeur Sourire, une voix égarée. In: La Croix, 28. April 2009.
lefigaro.fr
“[Q]uelque chose de délibérément schématique, et les personnages relèvent du stéréotype, pour ne pas dire de la caricature. Mais dans ce monde en deux dimensions, Cécile de France introduit un portrait richement incarné […] qui ne laisse jamais indifférent.” Marie-Noëlle Tranchant: Soeur Sourire, Soeur Tristesse. In: Le Figaro, 29. April 2009.
lemonde.fr
“[L]’interprétation courageuse de Cécile de France ne justifie pas tout à fait les deux heures consacrées à un destin essentiellement médiocre et déprimant. […] Rien d’exaltant donc, avec en plus un effet secondaire fâcheux.” Thomas Sotinel: “Soeur Sourire”: maudite rengaine. In: Le Monde, 28. April 2009.
lexpress.fr
“Voilà un film bien étrange. Il démarre formidablement bien […]. [L]e scénario réduit les vingt dernières années de la chanteuse déconfite à une demi-heure […] de galères, alors que le vrai sujet se trouvait dans ce dédale d’injustices et de désillusions […]. Reste Cécile de France, lumineuse, crédible.” Christophe Carrière: Soeur Sourire. In: L’Express, 29. April 2009.
liberation.fr
“Sœur Sourire est donc un film sympathique: parce que sortir 300 copies d’un biopic à thématique homo, dépressive et mystique, c’est un peu osé […]. Cécile de France incarne miraculeusement Deckers: […] nous épargnant les égarements de l’habituelle psychologie des profondeurs.” Eric Loret: Et ta sœur?! In: Libération, 29. April 2009.
“A long way from the candy-colored 1966 Debbie Reynolds starrer […] Coninx’s take […] doesn’t shy away from its subject’s darker side. […] Without becoming didactic, the pic sketches the widening cracks between the Catholic Church and modern society […]. Coninx’s treatment of the church is generally level-headed and focused on individuals […]. Their final moments are shown in a beautiful, wordless sequence […]. De France […] superbly embodying the many contradictions of a woman misunderstood by many (not least by herself).”Boyd van Hoeij: Soeur Sourire. In: Variety, 28. April 2009.