„Goldschmidt donne à voir un Paris très beau, désert, insolite parfois, et c’est le meilleur du film, cette redécouverte du déjà vu. Le climat psychopathe désenchanté des héros fait penser furieusement aux films d'Antonioni les plus fameux avec leurs bourgeois déboussolés. C’est l’occasion de s’apercevoir soudain comme certains sentiments d’avant-hier sont aujourd’hui brusquement démodés“, in: „Ville étrangère“, de Didier Goldschmidt, Qui suis-je, où cours-je? Le Monde, 5. Juni 1988, abgerufen am 1. Juli 2023