"Sí se ha aprobado por unanimidad, también a propuesta de Ciudadanos, dedicar una calle al anarquista Melchor Rodríguez García, el último alcalde de Madrid republicano, ante "el gran consenso social y político" al respecto y por "su gran relevancia para la reconciliación y la concordia tras la Guerra Civil". El País. Madrid sustituirá las calles franquistas por víctimas del terrorismo
"Si la critique de la déviation autoritaire de la FA est le principal fait de ralliement, on peut ressentir dès le premier numéro un état d'esprit qui va longtemps coller à la peau des anarchistes français. Cet état d'esprit se caractérise ainsi sous une double forme : d'une part un rejet inconditionnel de l'ennemi marxiste, d'autre part des questions sur le rôle des anciens et de l'évolution idéologique de l'anarchisme. C'est Fernand Robert qui attaque le premier : "Le LIB est devenu un journal marxiste. En continuant à le soutenir, tout en reconnaissant qu'il ne nous plaît pas, vous faîtes une mauvaise action contre votre idéal anarchiste. Vous donnez la main à vos ennemis dans la pensée. Même si la FA disparaît, même si le LIB disparaît, l'anarchie y gagnera. Le marxisme ne représente plus rien. Il faut le mettre bas ; je pense la même chose des dirigeants actuels de la FA. L'ennemi se glisse partout." Cédric Guérin. "Pensée et action des anarchistes en France : 1950–1970"