Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Enter the Void" in English language version.
En toute honnêteté, la différence ne saute pas aux yeux. Bien sûr, le film paraît plus cohérent, mais cela tient peut-être au fait qu'on a déjà parcouru une fois ce labyrinthe. En en sortant, on reste peut-être plus calme, mais toujours aussi ébahi de ce mélange d'invention débordante et de puérilité.
le film était comme un bébé de trois mois. Je l'ai sorti de mon ventre pour l'exhiber, flatté par l'invitation de Thierry Frémaux, mais il était encore en gestation. J'ai donc dû le replacer dans mon ventre, c'est-à-dire fignoler une multitude de détails.
En 2010, nul autre cinéaste hexagonal que Gaspar Noé ne sait filmer avec une telle maestria, ni même nous aspirer dans un vortex de sensations aussi vertigineuses.
Il n'ya là rien de radicalement nouveau, j'ai pris des techniques ou des modes de narration qui étaient déjà en place à droite à gauche dans des films, mais en les utilisant de manière obsessionnelle.
Un délayage d'idées simples, de poncifs convenus et de clichés rabattus dans un monceau d'images maniérées et vaines qui se prennent pour des prouesses techniques. Du cinéma soporifique
Sort of an art-film counterpart to Cameron's film, Void is a fever dream that blends elements of 2001, The Tibetan Book of the Dead, and dozens of other films, books, and videogames to craft a journey into an alternate reality, one that seems to have emerged from the deepest recesses of one passionately twisted auteur's mind.
Sort of an art-film counterpart to Cameron's film, Void is a fever dream that blends elements of 2001, The Tibetan Book of the Dead, and dozens of other films, books, and videogames to craft a journey into an alternate reality, one that seems to have emerged from the deepest recesses of one passionately twisted auteur's mind.
Il n'ya là rien de radicalement nouveau, j'ai pris des techniques ou des modes de narration qui étaient déjà en place à droite à gauche dans des films, mais en les utilisant de manière obsessionnelle.
le film était comme un bébé de trois mois. Je l'ai sorti de mon ventre pour l'exhiber, flatté par l'invitation de Thierry Frémaux, mais il était encore en gestation. J'ai donc dû le replacer dans mon ventre, c'est-à-dire fignoler une multitude de détails.
En toute honnêteté, la différence ne saute pas aux yeux. Bien sûr, le film paraît plus cohérent, mais cela tient peut-être au fait qu'on a déjà parcouru une fois ce labyrinthe. En en sortant, on reste peut-être plus calme, mais toujours aussi ébahi de ce mélange d'invention débordante et de puérilité.
En 2010, nul autre cinéaste hexagonal que Gaspar Noé ne sait filmer avec une telle maestria, ni même nous aspirer dans un vortex de sensations aussi vertigineuses.
Un délayage d'idées simples, de poncifs convenus et de clichés rabattus dans un monceau d'images maniérées et vaines qui se prennent pour des prouesses techniques. Du cinéma soporifique