(in French) «Quant à savoir si ce sont les activistes qui ont été manipulés par l'occupant (thèse de Lode Wils) ou l'inverse (thèses de Willemsen et Elias), la question reste un sujet polémique dans l'historiographie belge. Toutefois, la thèse de Lode Wils s'impose de plus en plus: si à Gand on trouve des activistes avant que les Allemands ne lancent leur Flamenpolitik, à Anvers ce sont bien les Allemands qui prirent contact avec les Flamands.» Laurence Van Ypersele, Representing the Traitor I. The Imaginaries of Hatred: The Repression of Belgian Collaborationists, 1914–1918, Louvain, 2005 html
sorbonne.fr
elec.enc.sorbonne.fr
(in French) Walter Prevenier et Thérèse de Hemptinne, La Flandre au Moyen Âge. Un pays de trilinguisme administratif, Actes du XIe Congrès international de diplomatique, Troyes, 2003 htmlArchived 16 August 2007 at the Wayback Machine
"Petite histoire de la Belgique et ses conséquences linguistiques". tlfq.ulaval.ca (in French). Archived from the original on 18 January 2009. Lorsque Bonaparte devint premier consul (1800–1804), il obligea tous les fonctionnaires de la Flandre à être des «citoyens français». Les évêchés subirent des changements similaires et, graduellement, tout le haut-clergé devint français. L’archevêque de Malines, Jean-Armand de Roquelaure, eut l’idée d’envoyer les séminaristes flamands à Lyon et Paris «pour franciser la Belgique en peu de temps». Cette politique ecclésiastique suscita, on le devine, de nouveaux mécontentements au sein de la population flamande. Puis Bonaparte devint Napoléon 1er (1804–1815). Short translation: Bonaparte forced civil servants of Flanders to become French citizens. The archbishop of Malines sent the Flemish seminarists to Lyon and Paris "in order to Frenchify Belgium in a short times"
wallonie-en-ligne.net
(in French) «les autres villes de Wallonie estimant que Liège était bien la capitale wallonne» Paul Delforge, Ligue Nationale Wallonne in Online Encyclopædia of the Walloon Movement
web.archive.org
(in French) Walter Prevenier et Thérèse de Hemptinne, La Flandre au Moyen Âge. Un pays de trilinguisme administratif, Actes du XIe Congrès international de diplomatique, Troyes, 2003 htmlArchived 16 August 2007 at the Wayback Machine
"Petite histoire de la Belgique et ses conséquences linguistiques". tlfq.ulaval.ca (in French). Archived from the original on 18 January 2009. Lorsque Bonaparte devint premier consul (1800–1804), il obligea tous les fonctionnaires de la Flandre à être des «citoyens français». Les évêchés subirent des changements similaires et, graduellement, tout le haut-clergé devint français. L’archevêque de Malines, Jean-Armand de Roquelaure, eut l’idée d’envoyer les séminaristes flamands à Lyon et Paris «pour franciser la Belgique en peu de temps». Cette politique ecclésiastique suscita, on le devine, de nouveaux mécontentements au sein de la population flamande. Puis Bonaparte devint Napoléon 1er (1804–1815). Short translation: Bonaparte forced civil servants of Flanders to become French citizens. The archbishop of Malines sent the Flemish seminarists to Lyon and Paris "in order to Frenchify Belgium in a short times"
«Wallons, prenons garde à cet aspect du problème. La Flandre prolifique nous envahit lentement; si ceux qui viennent vers nous et que nous accueillons fraternellement s'isolent en des groupements flamands linguistiques, si certains fanatismes les aident à ne pas être absorbés, si une législation administrative peu nette en matière linguistique favorise cette non-absorption, Wallons, prenez garde, dans cinquante ans votre terre ne sera plus à vous. C'est dur, c'est amer de "lâcher" les français de Flandre, ce serait bien plus dur et plus dangereux de sacrifier notre unité linguistique.» La Province de Namur, 5 and 6 October 1929, p. 1 cited in Pour la défense intégrale de la Wallonie — François Bovesse, Institut Jules-Destrée [fr], Collection Écrits politiques wallons, Mont-sur-Marchienne, vol. 4, p. 165.