Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Jacques de Molay" in English language version.
Abstract: This article revisits the generally accepted account of the execution of the Templar leaders Jacques de Molay and Geoffroi de Charny in March 1314, which derives from the continuation of the Latin Universal Chronicle of Guillaume de Nangis. Other contemporary chronicles, non-narrative evidence, and papal pronouncements cast light on the proceedings conducted by the three cardinal legates Clement V appointed to judge four Templar leaders in Paris, and suggest that the executions occurred on 11 March rather than 18 March (the date given in the continuation) and, rather than being ordered by King Philip the Fair (as the continuation alleges), were the direct result of the cardinal legates' decisions and actions.
Der letzte, zugleich der berühmteste, war Jacques de Molay, der am 11. März 1314 für seinen Orden den Tod des Märtyrers auf den Scheiterhaufen der Inquisition fand. – Zunächst jedoch wurden „die neuen Maccabäer", „die Athleten Christi" überall begeistert gefeiert und unterstützt. ... Am 11. März 1314 sollte der feierliche Schlußakt des Inquisitionsprozesses gegen den greisen Molay und die restlichen Ordensoberen stattfinden.
Le Temple, dès lors, était voué à disparaître, mais, devant Notre-Dame, le 11 mars 1314, Jacques de Molay, au prix de sa vie, revint sur ses aveux. ... Ce pari sur la mémoire et la postérité, au prix du sacrifice de sa vie, lui permit d'ouvrir une brèche et de s'extraire du piège dont depuis ses aveux, arrachés sous la torture, il était captif. Le sursaut de Notre-Dame, le 11 mars 1314, n'a donc rien d'un héroïsme vain.
Der letzte, zugleich der berühmteste, war Jacques de Molay, der am 11. März 1314 für seinen Orden den Tod des Märtyrers auf den Scheiterhaufen der Inquisition fand. – Zunächst jedoch wurden „die neuen Maccabäer", „die Athleten Christi" überall begeistert gefeiert und unterstützt. ... Am 11. März 1314 sollte der feierliche Schlußakt des Inquisitionsprozesses gegen den greisen Molay und die restlichen Ordensoberen stattfinden.
Le Temple, dès lors, était voué à disparaître, mais, devant Notre-Dame, le 11 mars 1314, Jacques de Molay, au prix de sa vie, revint sur ses aveux. ... Ce pari sur la mémoire et la postérité, au prix du sacrifice de sa vie, lui permit d'ouvrir une brèche et de s'extraire du piège dont depuis ses aveux, arrachés sous la torture, il était captif. Le sursaut de Notre-Dame, le 11 mars 1314, n'a donc rien d'un héroïsme vain.