Al amigo que no me salvó la vida (Spanish Wikipedia)

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diacritik.com

  • Marcandier, Christine (1 décembre 2016). «Hervé Guibert, 25 ans après» (en francés). Consultado el 22 de octubre de 2019. «Este libro (Al amigo que no me salvó mi vida) no es un testamento, pero es un libro que da claves para comprender lo que estaba en todos los otros libros y, a veces yo mismo no entendía de mismo. El SIDA me ha permitido radicalizarme un poco más, ciertos sistemas de narración, la información de la verdad, de llegar más allá de lo que creía posible. Hablo dedfr la verdad, de lo que puede ser cambiado por el trabajo de la escritura. Por eso amo la palabra novela. (1 de marzo de 1990))». 

elciudadano.com

  • PINEDO, LUCIO V. (28 de enero de 2016). «Al amigo que no me salvó la vida». Consultado el 22 de octubre de 2019. «[…] el SIDA era una enfermedad maravillosa. Y es cierto que yo descubría algo suave y embelesador en su atrocidad; era, por supuesto, una enfermedad inexorable, pero no fulminante, una enfermedad de niveles, una escalera muy larga que conducía evidentemente a la muerte, pero en la que cada peldaño representaba un aprendizaje inigualable; se trataba de una enfermedad que daba tiempo para morir, y que le daba a la muerte tiempo para vivir, tiempo para descubrir el tiempo, y para descubrir por fin la vida, era en cierto modo una genial invención moderna que nos habían transmitido los monos verdes de África». 

eltiempo.com

imageandnarrative.be

  • Arnaud Genon, Guillaume Ertaud (November 2007). «Entre textes et photographies: L'autofiction chez Hervé Guibert» (en francés). Archivado desde el original el 23 de abril de 2009. Consultado el 22 de octubre de 2019. «Ce livre [ A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie ] n'est pas un testament, mais c'est un livre qui donne des clés pour comprendre ce qu'il y avait dans tous les autres livres et que parfois je ne comprenais pas moi-même. Le sida m'a permis de radicaliser un peu plus encore certains systèmes de narration, de rapport à la vérité, de mise en jeu de moi-même au-delà même de ce que je pensais possible. Je parle de la vérité dans ce qu'elle peut avoir de déformé par le travail de l'écriture. C'est pour cela que je tiens au mot roman. (Guibert, 1990)». 

ina.fr

  • Antenne 2, INA (16 mars 1990). «Hervé Guibert "A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie"» (en francés). Consultado el 22 de octubre de 2019. «Interview d'Hervé GUIBERT, auteur du livre "A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie", et atteint par le virus du sida. Pendant des années il dit l'avoir tenu loin de lui par superstition. Il a assisté à la mort de Michel Foucault dont il était l'ami depuis 1977. Les moments insoutenables qu'il a vécus à son chevet à l'hôpital, il les écrivait pour les exorciser.Critiqué par un journal à sensation d'avoir étalé la vie privée de Foucault dans son livre, il explique qu'il s'agissait également de sa vie, et que Foucault était un homme très libre qui avait lui-même». 

lemonde.fr

  • GAUSSEN, FREDERIC (07 mai 2000). «Foucault et Hervé Guibert, le compagnon d'agonie» (en francés). Consultado el 22 de octubre de 2019. «Sur la bière contenant le corps de Michel Foucault se trouve une gerbe de roses portant trois prénoms : Mathieu, Hervé, Daniel - c'est-à-dire Mathieu Lindon, Hervé Guibert et Daniel Defert. Daniel Defert est depuis longtemps le compagnon de Foucault. Mathieu Lindon et Hervé Guibert sont deux jeunes gens devenus de très proches amis du philosophe». 

umontreal.ca

papyrus.bib.umontreal.ca

  • Brault, Anne-Véronique (Août 2009). «Dynamique de l’aveu et de la dénonciation dans les récits du sida d’Hervé Guibert» (en francés). Consultado el 22 de octubre de 2019. «Les répercussions du sida sur la communauté intellectuelle préfiguraient un changement certain dans l’esthétique littéraire contemporaine. Le témoignage de l’expérience individuelle de l’écrivain, à cet instant de désarroi collectif et de répression sociale à l’égard de la communauté homosexuelle, cherchait à provoquer une reconfiguration de l’espace de l’aveu par la projection du sujet privé dans la sphère publique». 

web.archive.org

  • Arnaud Genon, Guillaume Ertaud (November 2007). «Entre textes et photographies: L'autofiction chez Hervé Guibert» (en francés). Archivado desde el original el 23 de abril de 2009. Consultado el 22 de octubre de 2019. «Ce livre [ A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie ] n'est pas un testament, mais c'est un livre qui donne des clés pour comprendre ce qu'il y avait dans tous les autres livres et que parfois je ne comprenais pas moi-même. Le sida m'a permis de radicaliser un peu plus encore certains systèmes de narration, de rapport à la vérité, de mise en jeu de moi-même au-delà même de ce que je pensais possible. Je parle de la vérité dans ce qu'elle peut avoir de déformé par le travail de l'écriture. C'est pour cela que je tiens au mot roman. (Guibert, 1990)».