Le général rencontre le président de la République, Casimir-Perier, en minimisant l'importance des pièces transmises, ce que Mercier niera ensuite, opposant irréductiblement les deux hommes. Voir Procès de Rennes Tome 1, pp. 60, 149 et 157
Procès de Rennes Tome 2 pp. 191 et s. Il aggrave notamment son cas en n'admettant pas que la transmission d'un dossier secret fut une manœuvre criminelle.
Il semble que l'orthographe exacte du nom du capitaine soit Lebrun Renaud, mais l'ensemble de la littérature historique adopte la forme du texte, celle-ci étant donc la plus courante. Voir son témoignage au Procès de Rennes Tome 3, p. 73
Lire à cet égard les mémoires de Mathieu Dreyfus, L'Affaire telle que je l'ai vécue, restés inédits jusqu'en 1978, sauf quelques extraits.