Manara, Cedric. «PANORAMA DE CONFLITS PORTANT SUR LES NOMS DE DOMAINE»(html). Cedric(en francés). Archivado desde el original el 16 de mayo de 2018. Consultado el 16 de mayo de 2018. «Un communiqué de presse a récemment souligné qu'un "nombre record d'affaires de cybersquattage (sic) a été soumis en mai au Centre d'arbitrage et de médiation de l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle, portant à 569 le nombre total d'affaires dont le Centre a été saisi " (arbiter.wipo.int/press/pr-100-fr.html). Ce phénomène est connu de longue date - rapporté à la vitesse à laquelle se développe Internet - et a peut-être constitué tout à la fois la première forme de commerce électronique et l'objet des premiers litiges liés au Web. (...) De façon à enrichir le panorama fourni par la seule jurisprudence française (qu'il sera facile de reconstituer, en utilisant par exemple le site juriscom.net), les sources utilisées ci-après sont aussi étrangères. En outre, tous les conflits d'adresses n'ayant pas forcément donné lieu à décision judiciaire ou arbitrale, et d'autres étant pendants, les sources citées sont parfois des articles de journaux. On observe en effet que des " porteurs légitimes " d'adresses y renoncent parfois sous la pression, façon de montrer qu'en plus de la célérité pour l'obtention d'une adresse (énoncée sous le fameux axiome : "premier arrivé, premier servi "), l'âpreté est récompensée pour sa récupération. Ce pourrait être l'un des enseignements du présent "classement ", qui témoigne aussi du fort effet de résonance des conflits portant sur les noms de domaine.»
cedricmanara.com
Manara, Cedric. «PANORAMA DE CONFLITS PORTANT SUR LES NOMS DE DOMAINE»(html). Cedric(en francés). Archivado desde el original el 16 de mayo de 2018. Consultado el 16 de mayo de 2018. «Un communiqué de presse a récemment souligné qu'un "nombre record d'affaires de cybersquattage (sic) a été soumis en mai au Centre d'arbitrage et de médiation de l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle, portant à 569 le nombre total d'affaires dont le Centre a été saisi " (arbiter.wipo.int/press/pr-100-fr.html). Ce phénomène est connu de longue date - rapporté à la vitesse à laquelle se développe Internet - et a peut-être constitué tout à la fois la première forme de commerce électronique et l'objet des premiers litiges liés au Web. (...) De façon à enrichir le panorama fourni par la seule jurisprudence française (qu'il sera facile de reconstituer, en utilisant par exemple le site juriscom.net), les sources utilisées ci-après sont aussi étrangères. En outre, tous les conflits d'adresses n'ayant pas forcément donné lieu à décision judiciaire ou arbitrale, et d'autres étant pendants, les sources citées sont parfois des articles de journaux. On observe en effet que des " porteurs légitimes " d'adresses y renoncent parfois sous la pression, façon de montrer qu'en plus de la célérité pour l'obtention d'une adresse (énoncée sous le fameux axiome : "premier arrivé, premier servi "), l'âpreté est récompensée pour sa récupération. Ce pourrait être l'un des enseignements du présent "classement ", qui témoigne aussi du fort effet de résonance des conflits portant sur les noms de domaine.»