Grégoire représentant nommé par le département du Loir-et-Cher, Rapport présenté à la Convention nationale au nom des commissaires envoyés par elle pour organiser les départements du Mont-Blanc et des Alpes-Maritimes, Paris, Imprimerie nationale, , 49 p. (lire en ligne)
Grégoire, Rapport sur l'établissement du bureau des longitudes : Séance du 7 messidor an 3 de la République une et indivisible, Imprimerie nationale, (lire en ligne)
Henri Grégoire, Discours prononcé dans l'église cathédrale de Blois... pour Jacques Guillaume Simonneau,... assassiné le 3 mars 1792, Rennes, R. Vatar fils, (lire en ligne)
Charles Poisson, L'Armée et la Garde nationale, t. 1, Paris, A. Durand, , 549 p. (lire en ligne), p. 373-374
James Guillaume, « Le personnel du Comité de sûreté générale », dans Études révolutionnaires (Recueil d'articles parus dans La Révolution française et dans La Revue pédagogique), Paris, P.-V. Stock, (BNF30557230, lire en ligne), partie V, p. 267-268
Henri Grégoire, Opinion du citoyen Grégoire…, concernant le jugement de Louis XVI, séance du 15 novembre 1792, l'an premier de la République française, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 5-6
Voir les résultats nominatifs du vote dans cet ouvrage : Jacques-François Froullé et Thomas Levigneur, Liste comparative des cinq appels nominaux faits dans les séances des 15, 16, 17, 18 et 19 janvier 1793, sur le procès et le jugement de Louis XVI, Paris, Levigneur et Froullé, (lire en ligne)
« Le Créole patriote (Paris. 1792) », sur Gallica (consulté le ), p. 1048 La note se trouve à la quatrième page, numérotée 1048, dans la colonne de droite ; collection complète du périodique à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, 2 volumes 21 septembre 1792-21 février 1793, 109-109 et 109-110 (tome 2)
Henri Grégoire, Rapport sur l’établissement d’un Conservatoire des Arts et Métiers, Séance du 8 vendémiaire, l’an 3 de la République une et indivisible, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne)
James Guillaume, « Le personnel du Comité de sûreté générale », dans Études révolutionnaires (Recueil d'articles parus dans La Révolution française et dans La Revue pédagogique), Paris, P.-V. Stock, (BNF30557230, lire en ligne), partie V, p. 267-268
François-René deChateaubriand, Le Conservateur : Le roi, la charte, et les honnêtes gens, Le Normant, (lire en ligne), p. 631.
Henri-FrançoisImbert, Les Métamorphoses de la liberté : Stendhal devant la Restauration et le Risorgimento, Slatkine, , 670 p. (ISBN978-2-05-101076-4, lire en ligne).
Jacques Félix-Faure, Un Compagnon de Stendhal : Félix-Faure, Pair de France, Librairie Droz, , 217 p. (ISBN978-2-600-04339-7, lire en ligne), p. 107.
AlbertCollignon, L'art et la vie de Stendhal, G. Baillière, (lire en ligne), p. 226.
cairn.info
Par exemple :« La loge des Neuf Sœurs », sur Je pense.org, (consulté le ) ou encore Janus, « Le franc-maçon du jour : L’abbé Grégoire… », sur Zinfos974, (consulté le ) ou encore Queen Z, « Qui sont les francs-maçons du Panthéon ? », sur Mon Paris joli, (consulté le ). Le fait que ce soit d'authentiques franc-maçons, Cyrille Bissette et Adolphe Crémieux, qui aient prononcé l’éloge funèbre lors des funérailles de Grégoire a généré bien des supputations et fait couler beaucoup d’encre à ce sujet. Voir le paragraphe 8 de Léo Ursulet, « Les francs-maçons et l’abolition de l’esclavage aux Antilles Françaises », Humanisme, nos 1/310, , p. 87-91 (lire en ligne, consulté le )
Léo Ursulet, « Les francs-maçons et l’abolition de l’esclavage aux Antilles Françaises », Humanisme, nos 1/310, (lire en ligne, consulté le )
Louis Maggiollo, L'abbé Grégoire, sa vie ses œuvres 1750-1831, t. 1, Nancy, Berger-Levrault, (lire en ligne), p. 61-62 Cette référence n'est pas juste; au moins la page sinon l'ouvrage ; l'ouvrage comporte deux paginations : la première allant de 5 à 77 et la seconde de 5 à 145. Je n'y trouve cette citation ni dans l'une ni dans l'autre
Louis Maggiolo, L'abbé Grégoire sa vie ses œuvres 1750-1831, t. 1, Nancy, Berger-Levrault, , 77 + 145 (lire en ligne), p. 61-62. Attention ! Cet ouvrage comporte également, en forme de préface, le discours que fait L. Maggiolo lorsqu'il est reçu à l'Académie de Stanislas à Nancy en 1866 et qui est paginé de 5 à 77. Puis y fait suite une seconde partie, qui est l'ouvrage proprement dit, paginée de 5 à 145. C'est dans cette seconde partie que se trouve la citation aux pages 61-62 tirée des Mémoires de Grégoire, 1989, p. 90
Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne).
Par exemple :« La loge des Neuf Sœurs », sur Je pense.org, (consulté le ) ou encore Janus, « Le franc-maçon du jour : L’abbé Grégoire… », sur Zinfos974, (consulté le ) ou encore Queen Z, « Qui sont les francs-maçons du Panthéon ? », sur Mon Paris joli, (consulté le ). Le fait que ce soit d'authentiques franc-maçons, Cyrille Bissette et Adolphe Crémieux, qui aient prononcé l’éloge funèbre lors des funérailles de Grégoire a généré bien des supputations et fait couler beaucoup d’encre à ce sujet. Voir le paragraphe 8 de Léo Ursulet, « Les francs-maçons et l’abolition de l’esclavage aux Antilles Françaises », Humanisme, nos 1/310, , p. 87-91 (lire en ligne, consulté le )
La citation est de Françoise Hildesheimer. Elle veut signifier que la vie de Grégoire ayant été longue (80 ans) et comme il a été très éclectique dans ses centres d'intérêt et les historiens se spécialisant généralement sur une partie assez étroite de l'histoire, la plupart d'entre eux n'ont écrit que sur une période assez courte de sa vie, ou que sur un aspect de sa personnalité. Il y a peu de biographies de sa vie entière. Voir l'article de Paulin Aubard, « 25es RVH de Blois : l’abbé Grégoire, tête dure en temps de Révolution », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne, consulté le )
lemonde.fr
« L'abbé Grégoire au Panthéon. Le saint de la révolution », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
Son acte de baptême conservé par les archives de Meurthe-et-Moselle ne mentionne qu'un seul prénom "Henry" qui semble bien être orthographié avec un y. Les mentions de Baptiste ou même Jean-Baptiste (?) vues dans de nombreux documents et références semblent fautives, car le terme "Bapt." qui se trouve juste avant son prénom "Henry" est là pour signifier que l'acte enregistré dans ce livre est un baptême et pas un mariage ou un autre acte. Voir « Acte de baptême d'Henri Grégoire (5 décembre 1750) », sur Archives départementales de Meurthe-et-Moselle (consulté le )
monparisjoli.com
Par exemple :« La loge des Neuf Sœurs », sur Je pense.org, (consulté le ) ou encore Janus, « Le franc-maçon du jour : L’abbé Grégoire… », sur Zinfos974, (consulté le ) ou encore Queen Z, « Qui sont les francs-maçons du Panthéon ? », sur Mon Paris joli, (consulté le ). Le fait que ce soit d'authentiques franc-maçons, Cyrille Bissette et Adolphe Crémieux, qui aient prononcé l’éloge funèbre lors des funérailles de Grégoire a généré bien des supputations et fait couler beaucoup d’encre à ce sujet. Voir le paragraphe 8 de Léo Ursulet, « Les francs-maçons et l’abolition de l’esclavage aux Antilles Françaises », Humanisme, nos 1/310, , p. 87-91 (lire en ligne, consulté le )
Marc Allégret, « Grégoire, Abbé Jean-Baptiste, (1750-1831), comte, sénateur », Revue du Souvenir Napoléonien, no 415, , p. 59-60 (lire en ligne, consulté le )
Marc Allégret, « Grégoire, Abbé Jean-Baptiste, (1750-1831), comte, sénateur », Revue du Souvenir Napoléonien, no 415, , p. 59-60 (lire en ligne, consulté le )
Jean-Daniel Piquet, « L'abbé Grégoire ou l'universalisme jacobin d'une déclaration des droits et des devoirs des hommes de toutes les couleurs », Annales de L'Est, no 1, , p. 269-297 (lire en ligne, consulté le )
openedition.org
journals.openedition.org
Jean-Daniel Piquet, « Lettre secrète de l'abbé Grégoire et de ses trois collègues en mission dans le Mont-Blanc, à Danton », Cahiers d'Histoire (Lyon, Grenoble, Clermont, Saint-Étienne, Chambéry, Avignon), t. 46, nos 3-4, 3e/4e trim2001, p. 397-415 (lire en ligne, consulté le )
Jean-Daniel Piquet, « L'abbé Grégoire et ses trois collègues en mission dans le Mont-Blanc furent "régicides" : Article et documents inédits », Annales Historiques de la Révolution Française, no 303, 1er trim 1996, p. 113-117 (lire en ligne, consulté le )Mémoires de Grégoire, 1989 p. 91
Bernard Plongeron, « Sur Grégoire « régicide » d'après des documents pris pour source », Annales historiques de la Révolution française, no 305, 3e trim 1996, p. 535-536 (lire en ligne, consulté le )
« La Démence coloniale sous Napoléon », par Yves Benot en 1992, aux Éditions La Découverte, compte-rendu de lecture par l'historien Marcel Dorigny dans la revue scientifique des Annales historiques de la Révolution française en 1993 [3].
Allysa Gollstein Sepinwall, « Les paradoxes de la régénération révolutionnaire, le cas de l'abbé Grégoire », Annales Historiques de la Révolution française, no 3, , p. 69-90 (lire en ligne, consulté le )
Voir la note de la page 69 Allysa Gollstein Sepinwall, « Les paradoxes de la régénération révolutionnaire, le cas de l'abbé Grégoire », Annales Historiques de la Révolution française, no 3, , p. 69 (lire en ligne, consulté le )
archives-parlementaires.persee.fr
Jean Joseph Mounier, Archives Parlementaires de 1787 à 1860 - Première série (1787-1799) Tome VIII - Du 5 mai 1789 au 15 septembre 1789, t. VIII, Paris, Librairie Administrative P. Dupont, (lire en ligne)
Jean-Daniel Piquet, « L'abbé Grégoire, un régicide panthéonisé », Cahiers d'Histoire Espace Marx, no 63, 2e trim 1996, p. 61-77 (lire en ligne, consulté le )
Henri Grégoire (préf. Hippolyte Carnot), Mémoires de Grégoire, ancien évêque de Blois : Texte établi par H. Carnot, t. 1, Paris, Ambroise Dupont, , 479 p., p. 29 Voir wikisource à la page 29 [1]
Jean-Yves Calvez et Philippe Lecrivain, Comprendre le catholicisme, Eyrolles, , 199 p., 1 vol. (ISBN978-2-21254-130-4, OCLC470947334), p. 67.
zinfos974.com
Par exemple :« La loge des Neuf Sœurs », sur Je pense.org, (consulté le ) ou encore Janus, « Le franc-maçon du jour : L’abbé Grégoire… », sur Zinfos974, (consulté le ) ou encore Queen Z, « Qui sont les francs-maçons du Panthéon ? », sur Mon Paris joli, (consulté le ). Le fait que ce soit d'authentiques franc-maçons, Cyrille Bissette et Adolphe Crémieux, qui aient prononcé l’éloge funèbre lors des funérailles de Grégoire a généré bien des supputations et fait couler beaucoup d’encre à ce sujet. Voir le paragraphe 8 de Léo Ursulet, « Les francs-maçons et l’abolition de l’esclavage aux Antilles Françaises », Humanisme, nos 1/310, , p. 87-91 (lire en ligne, consulté le )