Emmanuelle Colin-Jeanvoine et Stéphanie Dérozier, Le financement du FLN pendant la guerre d'Algérie : 1954-1962, Bouchène, , 168 p. (ISBN978-2-35676-002-9 et 2-35676-002-4, OCLC221531217, lire en ligne), chap. 2 (« Les ressources financières du FLN »), p. 82
« Il s’avère que 95,90 % du total des revenus proviennent des pays arabes, apparaissant nettement comme les banquiers du FLN, et plus précisément l’Irak et l’Égypte qui participent respectivement pour 40, 9 % et 28, 8 % cette année-là. Viennent ensuite le Koweit (12,2 %), la Syrie (6,5 %), l’Arabie Saoudite (5,2 %), la Jordanie (3,6 %), les autres pays arabes constituant environ 3,5 % de leur contribution totale. »
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(en) Paul Salem, « Kuwait: Politics in a Participatory Emirate », Carnegie Endowment for International Peace, no 3, , p. 4 (JSTORresrep12897)
Emmanuelle Colin-Jeanvoine et Stéphanie Dérozier, Le financement du FLN pendant la guerre d'Algérie : 1954-1962, Bouchène, , 168 p. (ISBN978-2-35676-002-9 et 2-35676-002-4, OCLC221531217, lire en ligne), chap. 2 (« Les ressources financières du FLN »), p. 82
« Il s’avère que 95,90 % du total des revenus proviennent des pays arabes, apparaissant nettement comme les banquiers du FLN, et plus précisément l’Irak et l’Égypte qui participent respectivement pour 40, 9 % et 28, 8 % cette année-là. Viennent ensuite le Koweit (12,2 %), la Syrie (6,5 %), l’Arabie Saoudite (5,2 %), la Jordanie (3,6 %), les autres pays arabes constituant environ 3,5 % de leur contribution totale. »