Jean-Pierre Cordier, « Abram Petrovitch Ganibal, un destin hors normes », Communication présentée à l'Académie des sciences, des lettres et des arts d'Amiens, sur Academia.edu, (consulté le ) : « Il écrit au secrétaire du tsar : "Je vous prie de rapporter à Sa majesté que j'ai servi dans l'armée d'ici en qualité d'ingénieur-lieutenant. Puisqu'une nouvelle école de jeunes ingénieurs a été créée ici en 1720, et que dans cette école les étrangers n'étaient pas admis excepté ceux qui avaient servi dans l'armée française, j'avais pensé que S.M ne serait pas contrariée par le fait que j'ai accepté de servir pour avoir la meilleure formation." ».
cairn.info
Henry Tourneux, « Du nouveau sur l'ancêtre de Pouchkine », Afrique & histoire, vol. 6, no 2, , p. 225–234 (ISSN1764-1977, lire en ligne, consulté le ).
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letemps.ch
«Les Russes ne voulaient pas d’un nègre dans les aïeuls de Pouchkine», sur Le Temps, (consulté le ) : « Il n’était pas d’origine française, mais il a servi dans l’armée française comme volontaire, a été blessé à la guerre. Il a été un ambassadeur en Russie de la langue française, des sciences et techniques françaises au XVIIIe siècle. ».
Alain Rouaud, « Gnammankou Dieudonné, 1996 : Abraham Hanibal, l'aïeul noir de Pouchkine. », Journal des africanistes, vol. 67, no 1, , p. 183-185 (lire en ligne).
powells.com
Andrew Kahn, « Russe noir », critique de Gannibal : The Moor of Petersburg de Hugh Barnes.
univ-tlse2.fr
interfas.univ-tlse2.fr
Jean Breuillard, « Notes de lecture », sur interfas.univ-tlse2.fr - Université de Toulouse - Jean Jaurès, Slavica occitania, Numéro 5, Toulouse, (consulté le ), pp. 283-287..