Alors qu'une mère et sa fille étaient toutes deux mortes sur le coup dans la catastrophe, les tribunaux durent pourtant se prononcer quelques années plus tard sur le moment exact de leurs décès respectifs afin de trancher une délicate question d'héritage (voir Journal de Rouen du 4 février 1936, p. 6.
M. Blondel: La résistance de la voie aux oscillations de lacet des véhicules, Revue générale des chemins de fer, no 6, décembre 1931, pp. 439-451., notamment p. 450 et 451.