Damien Canteau, « La solitude du marathonien de la bande dessinée », sur Comixtrip (consulté le ) : « En 1995, Adrian est invité à la Comic-Con de San Diego. Il est reconnu par le public et ses pairs. Quatre ans auparavant, il a commencé l’aventure Optic Nerve, reprise en album par les éditions Drawn & Quarterly.
Pourtant, les critiques ne sont pas toujours tendres avec lui. Comparé trop souvent à Daniel Clowes, son modèle, il aimerait vraiment être reconnu pour son travail. »
(en-US) Kelly Strodl, « Kudos for comic creator », Daily Pilot, (lire en ligne, consulté le ).
lesinrocks.com
Vincent Brunner, « Adrian Tomine raconte sa drôle de vie d’auteur de BD », sur Les Inrocks (consulté le ) : « “C’est comme être un des joueurs de badminton les plus célèbres au monde.” En mettant en exergue cette citation de l’Américain Daniel Clowes concernant sa célébrité en tant que dessinateur, Adrian Tomine donne le ton de cette autobiographie grinçante. »
Toma Clarac, « BD : L’autobiographie interdite d’Adrian Tomine », sur Vanity Fair, (consulté le ) : « Illustration de cette frêle notoriété dans le livre de Tomine : au détour d’une tournée promo au Japon, une lectrice insiste pour qu’il dédicace un livre de… Clowes »