Pour plus de détails, consulter Frédéric Ritter, « François Viète, inventeur de l'algèbre moderne, 1540-1603 — Essai sur sa vie et son œuvre », Revue occidentale philosophique, sociale et politique, 2e série, vol. X, no 107, , p. 234-274 (lire en ligne) (p. 263-266).
Quetelet 1864, p. 123 affirme qu'Adrien Romain avait une estime particulière pour Coignet. Romain le dit « très versé dans toutes les parties des mathématiques comme le prouvent et le prouveront (...) ses ouvrages qu'il a bien voulu me montrer quand j'allais le visiter à Anvers ».
Bernard Lordel, de Mouzon, Jean van den Weege, de Boxtel et Thomas Fienus, d'Anvers, étudiants de van Roomen en médecine, ainsi que Corneille Opmeer, de Delft, étudiant en droit s'intéressent également aux mathématiques ; parmi eux, seul Thomas Fienus (ou Fyens) acquit quelque notoriété (Ruland 1867). Quetelet 1864, p. 123 le cite abondamment ; il succède à Sturmus, ou Storms, à l'université de Louvain. En outre c'est un familier de Snell.
Paul Stromayr, d'Ingolstad, Disputatio medica de humoribus (Dissertation de médecine sur les humeurs), voir Ruland 1867, p. 64.
Adolphe Quetelet, Histoire des sciences mathématiques et physiques chez les Belges, Bruxelles, Hayez, (lire en ligne), « Adrien Romain », p. 132-138.
Baron de Reiffenberg, « Notes sur Adrien Romain ou Van Roomen », dans A. Quetelet, Correspondance mathématique et physique de l'Observatoire de Bruxelles, t. 8, (lire en ligne), p. 323 et s..
J.-A. de Thou, Histoire universelle, depuis 1543jusqu'en 1607, t. 14, livre CXXIX, (lire en ligne), p. 163-164.
(it) Baldassarre Boncompagni, Della vita e delle opere di Leonardo Pisano, matematico del secolo decimoterzo, (lire en ligne), p. 91-93.
Henri Bosmans, « Le fragment du commentaire d'Adrien Romain sur l'algèbre de Mahumad ibn Musa el-Chowarezmi », Annales de la Société scientifique de Bruxelles, vol. 30, 2e partie, , p. 269 (lire en ligne).
H Bosman,«Le fragment du Commentaire d'adrien Romain sur L'algèbre de mahumad Ben Musa el-Chowarezmi», Annales de la Société Scientifique de Bruxelles, année 1905-1906, p=270(574)
Communication du R. P. Henri Bosmans, Annales de la Société scientifique de Bruxelles, 1876, p. 80, [lire en ligne].
blason-armoiries.org
L'expression «Eques Auratus» (Chevalier émérite) fait référence aux chevaliers qui n'étaient pas admis dans les chapitres de la toison d'or mais dont l'armure ou les éperons étaient cependant dorés (selon Jean-Pierre Niceron, Mémoires pour servir à l'histoire des hommes illustres dans la république p. 241 [lire en ligne (page consultée le 29 septembre 2010)]), on retrouve ce renseignement héraldique sur la page des chevaliers du site blason-armoiries.org) ; elle signifie d'autre part « cavalier émérite », selon Paul Delsalle et Laurence Delobette, La Franche-Comté à la charnière du Moyen Âge et de la Renaissance (1450-1550), Presses universitaires de Franche-Comté, 2003, p. 184, aperçu sur Google Livres, pour distinguer le chevalier des écuyers. Il semble également que le titre ait été un titre pontifical ; il a également pu être conféré par les empereurs germaniques (à partir du XVIe siècle) et donc avoir été conféré à Romain par l'empereur Rodolphe II.
bnf.fr
gallica.bnf.fr
(la) L'œuvre de Viète en latin est disponible sur Gallica dans l'édition qu'en fit Van Schooten en 1646 [lire en ligne (page consultée le 24 septembre 2010)].
books.google.com
L'expression «Eques Auratus» (Chevalier émérite) fait référence aux chevaliers qui n'étaient pas admis dans les chapitres de la toison d'or mais dont l'armure ou les éperons étaient cependant dorés (selon Jean-Pierre Niceron, Mémoires pour servir à l'histoire des hommes illustres dans la république p. 241 [lire en ligne (page consultée le 29 septembre 2010)]), on retrouve ce renseignement héraldique sur la page des chevaliers du site blason-armoiries.org) ; elle signifie d'autre part « cavalier émérite », selon Paul Delsalle et Laurence Delobette, La Franche-Comté à la charnière du Moyen Âge et de la Renaissance (1450-1550), Presses universitaires de Franche-Comté, 2003, p. 184, aperçu sur Google Livres, pour distinguer le chevalier des écuyers. Il semble également que le titre ait été un titre pontifical ; il a également pu être conféré par les empereurs germaniques (à partir du XVIe siècle) et donc avoir été conféré à Romain par l'empereur Rodolphe II.
Traduction libre de « Atque illud postremo ex me habeto, hominem te vel nulla virtute, ut ait ille, redemptum à vitiis, amare tamen possumus, improbum te non odisse, et iam non fuerit nobis difficillimum : Allatrantem in bonos, laudatosque viros, quietos homines irritantem, mendacem, falsumque Mathematicum, impurum, impium, non homines, non Deus, cuius tibi iram ingentem thesaurizas, patietur. »(la) Christophorus Clavius, Refutatio cyclometriae Iosephi Scaligeri, Mayence, J. Albinus, , 84 p. (lire en ligne), p. 84.
Anton Ruland reproduit une partie de la dédicace du pronostic de 1602 dans Ruland 1867, p. 68-69, aperçu sur Google Livres.
Ruland 1867, p. 84, aperçu sur Google Livres. D'après Ruland, il semble qu'Adrien Romain ne soit pas présent en personne lors de la résiliation de sa charge.
Ce paon se trouve dans la description héraldique du blason d'Adrien Romain publiée dans Ruland 1867, p. 99, aperçu sur Google Livres.
(en) Jean-Pierre Tignol, Galois' Theory of Algebraic Equations, World Scientific, , 2e éd. (1re éd. 2001) (lire en ligne), p. 30-34, voir aussi (en) Herman H. Goldstine, History of Numerical Analysis from the 16th Through the 19th Century (Studies in the History of Mathematics and Physical Sciences, 2), New York, Springer-Verlag, , 348 p. (ISBN0-387-90277-5), p. 33-41 et Vetter 1930.
Louis Monmerqué et Paulin Paris, Les Historiettes de Tallemant des Réaux, 3e édition entièrement revue, t. 1, (lire en ligne), chap. LIII (« M. Viète »), p. 462-463. Voir aussi l'édition précédente, Monmerqué, Les Historiettes de Tallemant des Réaux, t. 1, 1861 [sic], 2e éd. (lire en ligne), chap. XLVI (« M. Viète »), p. 88-89.
(la) Adrien Romain, In Archimedis, circuli dimensionem expositio et analysis, apologia pro Archimede (aperçu sur Google Livres), analyse et exposition de la longueur du cercle, apologie d'Archimède.
Corneille Broeckx, Essai sur l'histoire de la médecine belge avant le XIXe siècle, Société Encyclographique des Sciences Médicales, (lire en ligne), p. 187-188.
Louis Moreri et Jean Le Clerc, Le Grand Dictionnaire historique sur le mélange curieux, vol. 2, Halma, 1692, p. 437, aperçu sur Google Livres, donnent Episcopius pour le chef des Arminiens de Leyde.
Adrien Romain, le miroir de l'astronomie, ouvrage avec des cartes détaillées [lire en ligne (page consultée le 2 octobre 2010)] (numérisation e-rara).
gap-system.org
(en) La traduction d'Archimède faite par Jean Cornets de Groot pour van Ceulen est évoquée sur Mac Tutor.
google.fr
books.google.fr
L'expression «Eques Auratus» (Chevalier émérite) fait référence aux chevaliers qui n'étaient pas admis dans les chapitres de la toison d'or mais dont l'armure ou les éperons étaient cependant dorés (selon Jean-Pierre Niceron, Mémoires pour servir à l'histoire des hommes illustres dans la république p. 241 [lire en ligne (page consultée le 29 septembre 2010)]), on retrouve ce renseignement héraldique sur la page des chevaliers du site blason-armoiries.org) ; elle signifie d'autre part « cavalier émérite », selon Paul Delsalle et Laurence Delobette, La Franche-Comté à la charnière du Moyen Âge et de la Renaissance (1450-1550), Presses universitaires de Franche-Comté, 2003, p. 184, aperçu sur Google Livres, pour distinguer le chevalier des écuyers. Il semble également que le titre ait été un titre pontifical ; il a également pu être conféré par les empereurs germaniques (à partir du XVIe siècle) et donc avoir été conféré à Romain par l'empereur Rodolphe II.
Quetelet 1864, p. 138 se montre plus tendre pour Storms ou Sturmius, mais dénonce lui aussi son incapacité à mener une véritable école de mathématiques.
handle.net
hdl.handle.net
(la) AdrianusRomanus, Ideae mathematicae pars prima, sive methodus polygonorum, (lire en ligne), dernière page de la préface (non numérotée), Romain donne 1 au lieu de 2 pour le dernier chiffre.
harvard.edu
adsabs.harvard.edu
Article de Le Paige, « Un astronome belge du XVIIe siècle Godefroid Wendelin », dans Ciel et Terre, vol. 12, p. 57-66 [lire en ligne] affirme que Romain eut pour successeur à Louvain le professeur Jean Storms de Malines. Ce dernier ne semble pas avoir laissé une grande trace dans l'esprit de ses étudiants. Versificateur et aristotélicien, il borna son activité à rechercher des carrés magiques.
imss.fi.it
brunelleschi.imss.fi.it
(en) Article « Michel Coignet » sur Brunelleschi, Institut and museum of history of science [lire en ligne (page consultée le 24 septembre 2010)].
Jean Mawhin, « Une brève histoire des mathématiques à l’Université Catholique de Louvain », Revue des Questions Scientifiques, vol. 163, , p. 393-396 (1-13) (lire en ligne).
ugent.be
logica.ugent.be
Ces formules donnent des produits des sinus, à l'aide de leurs sommes ; apparues au milieu du XVIe siècle elles remplacent les logarithmes et servent, à l'époque, à multiplier de grands nombres. Voir l'article de H. Bosmans, « La trigonométrie d'Albert Girard » sur le site de l'université de Gand, p. 345 et seq. [lire en ligne].
Henri Bosmans, « La méthode d'Adrien Romain pour effectuer les calculs des grands nombres », Annales de la société scientifique de Bruxelles, (lire en ligne), sur le site de l'université de Gand.
Article de Henri Bosmans, « Ludolphe van Ceulen » sur le site de l'université de Gand [lire en ligne (page consultée le 24 septembre 2010)].
Cette solution est décrite dans <Henri Bosmans, « Analyse de trois ouvrages célèbres d'Adrien Romain », Annales de la société scientifique de Bruxelles, vol. 29, , p. 68-74 (lire en ligne).
uni-goettingen.de
resolver.sub.uni-goettingen.de
(nl) Ludolf van Ceulen, Vanden [Van den] Circkel, (lire en ligne).
uu.nl
dspace.library.uu.nl
Des biographes antérieurs le disent de famille noble à la suite de Gilbert 1859, p. 278, mais ce n'est pas confirmé par Bockstaele 1966, voir aussi Paul Bockstaele, « Adriaan Van Roomen, Medicus et Mathematicus », Scient. Hist., vol. III, (lire en ligne).