André Vincent (1799-1868) Auteur du texte Delacouture, Le Droit canon et le droit naturel dans l'affaire Mortara, par M. l'abbé Delacouture,..., (lire en ligne), p. 7-56.
« Histoire », sur Ordre des Chanoines Réguliers du Très Saint-Sauveur du Latran (CRL) (consulté le ).
doi.org
dx.doi.org
Laura Hobson Faure, « L’évolution de la philanthropie juive française à l’époque contemporaine (1791-1939) : un essai de synthèse », Les Cahiers de Framespa. Nouveaux champs de l’histoire sociale, no 15, (ISSN1760-4761, DOI10.4000/framespa.2786, lire en ligne, consulté le ).
Note : La première utilisation de « non possumus » remonte au début du IVe siècle, quand Dioclétien ordonne la destruction des Écritures et des églises chrétiennes et interdit les liturgies chrétiennes. Un groupe de quarante-neuf chrétiens dans la ville africaine de Abitinae désobéirent à cet ordre impérial et répondirent : « Sine dominico non possumus » (« Nous ne pouvons pas vivre sans cette chose du Seigneur »). Lire en ligne.
genami.org
Lionel Lévy, « « Saint Pie IX » et l'enfant Mortara », (Source : Jean Carasso, « Prigioniero del Papa » in la Lettre Sépharade, décembre 2000, p. 5.), sur www.genami.org, Association de la généalogie juive (GenAmi), (consulté le ).
Note : Lors de l'affaire Montel, le comte Rayneval, ambassadeur au Saint-siège avait décrit ainsi l’état d’esprit des cercles dirigeants romains :
« J’ai pu noter à propos de cette affaire, que la haine et le mépris contre la race juive, même chez les esprits les plus éclairés, se perpétuent ici dans toute leur force. »
Voir Jean Carasso, « Prigioniero del Papa » in la Lettre Sépharade, décembre 2000, p. 5. Lire en ligne la mise à jour.
google.fr
books.google.fr
(en) Vittorio Messori, Kidnapped by the Vatican?: The Unpublished Memoirs of Edgardo Mortara, Ignatius Press, (ISBN9781621641988, lire en ligne), p. 3.
Laura Hobson Faure, « L’évolution de la philanthropie juive française à l’époque contemporaine (1791-1939) : un essai de synthèse », Les Cahiers de Framespa. Nouveaux champs de l’histoire sociale, no 15, (ISSN1760-4761, DOI10.4000/framespa.2786, lire en ligne, consulté le ).
Laura Hobson Faure, « L’évolution de la philanthropie juive française à l’époque contemporaine (1791-1939) : un essai de synthèse », Les Cahiers de Framespa. Nouveaux champs de l’histoire sociale, no 15, (ISSN1760-4761, DOI10.4000/framespa.2786, lire en ligne, consulté le ).
Voir le compte-rendu d'Arthur Hérisson, « L’enlèvement, de Marco Bellocchio (2023) », Histoire Politique [En ligne], Comptes rendus, mis en ligne le 02 novembre 2023.
sodalitium.eu
Le Code de droit canonique de 1917 à l’alinéa 750 paragraphe 1° enseigne que : « On peut baptiser licitement les enfants des infidèles, même contre le gré de leurs parents, lorsque, en raison de l’état de santé où ces enfants se trouvent déjà, on prévoit prudemment qu’ils mourront avant d’avoir eu l’âge de la raison. Si la mort est certaine, on doit le baptiser, pourvu qu’on puisse le faire sans grave dommage à la religion. Si la mort est seulement probable il est permis de le baptiser ». Lire pp. 24-28 en ligne.
Georges Jonas Weill, « L'Affaire Mortara et l'anticléricalisme en Europe à l'époque du Risorgimento », Aspects de l'anticléricalisme du Moyen Âge à nos jours (ULB), , p. 103-134 (lire en ligne [PDF]).
Georges J. Weill, L'affaire Mortara et l'anticléricalisme en Europe à l'époque du Risorgimento, in Aspects de l'anticléricalisme du Moyen Âge à nos jours, éd. ULB, 1988, p. 130, article en ligne sur la digithèque de l'ULB.
upjf.org
Riccardo Calimani, L'Errance juive, Denoël, 1996 ; les pages 333-342 (aperçu sur UPJF.org en ligne) concernent l'affaire Mortara.
vatican.va
Code de Droit Canonique L'apostat de la foi, l'hérétique ou le schismatique encourent une excommunication latae sententiae.
Note : Selon E. Mortara, A. Morisi elle-même aurait reçu des instructions, six ans après les faits, pour baptiser secrètement le jeune frère d'Edgardo, Aristido, qui était également gravement malade mais elle avait cependant refusé de le faire, invoquant comme raison le fait qu'elle avait précédemment fait une chose similaire pour Edgardo considérant qu'il ne survivrait pas et ne voulait pas répéter son erreur. Cette confession indirecte de sa part conduisit alors, avec environ six ans de retard, les autorités ecclésiastiques à apprendre qu'Edgardo Mortara avait été baptisé (ondoyé) à l'insu de ses parents. Lire témoignage d'E. Mortara en ligne.