Claude Francillon, « Deux naufragés au flanc du mont Blanc », Le Monde, (lire en ligne).
"Vives inquiétudes à Chamonix sur le sort de plusieurs alpinistes" le 28 décembre 1956, dans Le Monde[3]
« Deux expéditions de secours sont en route », Le Monde, (lire en ligne).
"Les chutes de neige sur le mont Blanc retardent le sauvetage en hélicoptère des deux alpinistes Vincendon et Henry" le 31 décembre 1956 dans Le Monde[7]
« La tempête retarde encore les sauveteurs », Le Monde, (lire en ligne).
« On ne peut, même pour sauver deux hommes, exposer avec certitude la vie de dix ou quinze sauveteurs », Le Monde, (lire en ligne).
« Il ne peut y avoir de zones interdites en montagne mais ce n'est pas une raison pour jouer avec sa vie et surtout avec celle des autres " nous déclare le président de la commission nationale de secours en montagne », Le Monde, (lire en ligne).
La réponse de Lionel Terray" dans Le Monde du 4 janvier 1957 [9]
« Toute opération semble abandonnée pour Vincendon et Henry », Le Monde, (lire en ligne).
« Lionel Terray donne sa démission de la Compagnie des guides de Chamonix », Le Monde, (lire en ligne).
« Le temps incertain fait ajourner de nouveau la descente des corps de Vincendon et Henry », Le Monde, (lire en ligne).
« Les opérations de décembre nous paraissent avoir été mal conduites écrit la Revue du Club alpin français », Le Monde, (lire en ligne).
leparisien.fr
Rosalie Lucas, « Alpinisme : en 1956, Vincendon et Henry n'ont pas eu la chance d'Elisabeth Revol », Le Parisien, (lire en ligne)
liberation.fr
"Annapurna a « fait » Maurice Herzog et oublié Louis Lachenal", par Charlie Buffet, dans Libération le 24 mai 2000 [5]
montagnes-magazine.com
Aymeric Guittet, « Il y a 61 ans, l'Affaire Vincendon - Henry », Montagnes Magazine, (lire en ligne)
"Six janvier 1956 – Vincendon et Henry - le journal L'Humanité fustige l'inconscience des deux jeunes gens", synthèse et éclairages par l'association à but non lucratif "Pilote de montagne" [8]