Zalmaï Haquani, Sébastien Brabant, Marc Hecker, Paul Presset, Denis Rolland et Roland Barraux, Une vie d'Afghanistan : entretiens avec Sébastien Brabant, Marc Hecker, Paul Presset, Éditions L'Harmattan, , 262 p. (ISBN2-296-00717-1, lire en ligne), p. 206.
Antoine Fleury, La pénétration allemande au Moyen-Orient, 1919-1939 : le cas de la Turquie, de l'Iran et de l'Afghanistan, éd. Brill, (ISBN9028602976, lire en ligne).
Antoine Fleury, La pénétration allemande au Moyen-Orient, 1919-1939 : le cas de la Turquie, de l'Iran et de l'Afghanistan, éd. Brill, (ISBN978-90-286-0297-7, lire en ligne), p. 280.
Pierre-Arnaud Chouvy, Les territoires de l'opium : conflits et trafics du Triangle d'Or et du Croissant d'Or (Birmanie, Laos, Thaïlande et Afghanistan, Iran, Pakistan), éd. Olizane, , 539 p. (ISBN2-88086-283-3, lire en ligne), p. 385.
Sophie Chautard, La géopolitique du XXe siècle et du nouvel ordre mondial, éd. Studyrama, , 298 p. (ISBN2-84472-547-3, lire en ligne), p. 216.
Vincent Jauvert et Zbigniew Brzezinski, « Oui, la CIA est entrée en Afghanistan avant les Russes… », Le Nouvel Observateur, , cité dans Peter Franssen et Pol de Vos (collaborateur), « Ben Laden et les États-Unis : une lutte commune », dans Le 11 septembre : pourquoi ils ont laissé faire les pirates de l'air, Editions EPO, , 185 p. (ISBN978-2-87262-192-7, lire en ligne), p. 46.
À l'origine, le mot taliban est le pluriel de taleb. « Les mots étrangers francisés, qu’ils soient à l’origine un pluriel ou un singulier, prennent aujourd’hui la marque française du pluriel. Les mots spaghetti et graffiti sont déjà des pluriels en italien ; le pluriel français s’écrit le plus souvent avec un « s ». […] On voit donc que la marque française du pluriel s’impose pour taliban […] ». Voir André Racicot, « Traduire le monde : Le pluriel de taliban », Bureau de la traduction du canada, (consulté le ). On écrira donc : les Talibans.
unodc.org rapport 2001 (pages 18-20) du Programme des Nations unies pour le contrôle international des drogues (PNUCID) sur la production d'opium en Afghanistan.
S'inspirant à la fois des systèmes américain et français, la Constitution afghane accorde d'importants pouvoirs au président de la République. Par exemple, comme la Constitution française, elle accorde au président le droit de dissoudre la chambre basse du Parlement bicaméral. En revanche, tout comme la Constitution américaine, elle ne fait partager les prérogatives et les pouvoirs du président avec aucune autre personnalité (exécutif monocéphale, absence de la fonction de Premier ministre). [1].
(en-US) Martin J. Wolf, John W. Emerson, Daniel C. Esty, Alex de Sherbinin, Zachary A. Wendling et al., 2022 Environmental Performance Index, New Haven, Connecticut, États-Unis, Yale Center for Environmental Law & Policy, , 192 p. (lire en ligne [PDF]).