André Guichaoua, « 3. Une transition politique obligée », dans Rwanda : de la guerre au génocide, La Découverte, coll. « Cahiers libres », , 83–126 p. (ISBN978-2-7071-5370-8, lire en ligne)
(en) Commission des Recours des Réfugiés (CRR), « CRR, 15 février 2007, 564776, Mme Agathe Kanziga veuve Habyarimana », sur Refworld (consulté le ) : « Ces éléments [...] constituent également des raisons sérieuses de penser que Mme Agathe KANZIGA veuve HABYARIMANA a participé en tant qu'instigatrice ou complice à la commission du crime de génocide, entendu au sens des stipulations de l'article 1er, F, a) de la convention de Genève comme la réalisation d'un crime contre l'humanité au sens des instruments internationaux élaborés pour prévoir des dispositions relatives à ces crimes tels la convention du 9 décembre 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide, qui punit au même titre que le génocide, la complicité de génocide ; il y a lieu dès lors d'exclure Mme Agathe KANZIGA veuve HABYARIMANA du bénéfice des dispositions protectrices de la convention de Genève par l'application de l'article 1er, F, a) de ladite convention [...] »
rfi.fr
Radio France internationale, Demande d'asile à nouveau rejetée, 15 février 2007, [1] : « En situation illégale sur le territoire français depuis 1998 » ; Christophe Ayad, Libération, jeudi 15 février 2007, Pas d'asile pour Agathe Habyarimana : « La veuve du président Habyarimana, qui vit en France depuis 1994 sans aucun papier ni statut [...] ».