« Agnès Soral : "Vous auriez envie de vous appeler Agnès Hitler ?" », sur nouvelobs.com (L'Obs), (consulté le ) : « — Je ne côtoie plus mon frère [Alain Soral] depuis des années et par Alain, le nom "Soral" est en train de devenir un adjectif qualificatif pour désigner la haine et une idéologie que je ne partage pas. […] En 1991, le pseudonyme de mon frère était ABS... Il souffrait de ne pas être connu et m'a demandé de l'aider pour vendre ses premiers livres qui n'avaient, à l'époque, rien de subversif. J'étais connue, j'avais déjà un nom, il ne lui restait qu'à se faire un prénom. Il est devenu Alain Soral. Mon nom à l'origine était Bonnet, originaire de Soral. Ce qui a donné le nom d'usage "Bonnet de Soral", que portent les papiers de mon frère. Depuis 1976, pour le film "un moment d'égarement", de Claude Berri, "Agnès Soral" est devenu mon pseudo. Et on m'appelait souvent sans mon prénom et mon frère le sait. C'est vers 1990 que j'ai fait des démarches pour que, avec la loi Germinal, mes papiers d'identité soient au nom d'Agnès Soral. »