Selon Jean-Pierre Boudet (Jean-Patrice Boudet, Entre science et nigromance : astrologie, divination et magie dans l'Occident médieval, p. 44), il s'agit d'une montagne imaginaire de Perse. Selon Louis-Amélie Sédillot (Louis-Amélie Sédillot, mémoire sur les systèmes géographiques des Grecs et des Arabes p. 3), c'est une ville des Indes Orientales.
« IV. Les Grecs tardifs, du IIIe au Ve siècle », dans Jérôme Gavin et Alain Schärlig, Longtemps avant l'algèbre : La fausse position : Ou comment on a posé le faux pour connaître le vrai, des Pharaons aux temps modernes, Lausanne, PPUR, , 222 p. (lire en ligne), p. 56.
(it) Nadia Ambrosetti, L'eredità arabo-islamica nelle scienze e nelle arti del calcolo dell'Europa medievale, Milan, LED, (ISBN978-88-7916-388-0, lire en ligne), p. 104
(it) Nadia Ambrosetti, L'eredità arabo-islamica nelle scienze e nelle arti del calcolo dell'Europa medievale, Milan, LED, (ISBN978-88-7916-388-0, lire en ligne), p. 197, 200, 203
D'après (en) al-Khwārizmī et Otto Neugebauer (traduction et commentaires de l'édition latine de Heinrich Suter (1914), complété par Corpus Christi College MS 283), The astronomical tables of al-Khwārizmi, København, I kommission hos Munksgaard, (lire en ligne), Plate I.
Louis Charbonneau, « Du raisonnement laissé à lui-même au raisonnement outillé: l'algèbre depuis Babylone jusqu'à Viète », Bulletin de l'Association des Mathématiques du Québec, , p. 11 (lire en ligne, consulté le ).