Yves André, « L'architecture navale adopte l'ordinateur », Le Monde, : « On est sans nouvelles de Penduick IV, le trimaran français cédé par Eric Tabarly à Alain Colas, et à bord duquel se trouvent six navigateurs. Officiellement, les multicoques ne sont pas autorisés à participer aux grandes compétitions internationales, surtout pour des raisons de sécurité. C'est donc à titre officieux que Penduick IV avait pris le départ. ».
« Coups de vent, avaries et pannes de gouvernail », Le Monde, : « Le groupe de tête de la course se trouvait, mardi, au sud du cap Finisterre (la pointe nord-ouest de l'Espagne). Dans ce groupe figuraient notamment Olivier de Kersauson (Kriter-IV, France), Alain Colas (Manureva, France) ».
« La marine nationale déclenche le plan de secours en mer », Le Monde, : « l'état-major précise que dès le , lorsque les premières inquiétudes ont commencé à se manifester, la marine nationale a renforcé le dispositif de recherche constitué d'avions de patrouille maritime à long rayon d'action Breguet-Atlantic. ».
Harry Bellet, « Thomas Schütte, même pas peur ! », Le Monde, : « Schütte fut invité par les autorités françaises à concevoir un monument au navigateur Alain Colas, pour le 10e anniversaire de sa disparition en mer sur le Manureva, en 1978. […] Incompréhension de la famille, et des édiles : l'œuvre est refusée. ».
Yves André, « Deux courses autour du monde », Le Monde, : « La course étant réservée aux monocoques, Alain Colas n'a pu engager son célèbre Pen Duick IV, mais il a l'intention de suivre la même route que les concurrents pour se mesurer à eux, officieusement. Cette initiative ne semble pas très appréciée d'Éric Tabarly. ».