Alain de Benoist (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Alain de Benoist" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
low place
low place
232nd place
15th place
879th place
52nd place
low place
low place
4,537th place
247th place
2nd place
3rd place
83rd place
2nd place
2,928th place
180th place
3,051st place
182nd place
124th place
14th place
57th place
4th place
low place
low place
515th place
37th place
500th place
30th place
7,747th place
455th place
1,217th place
70th place
low place
4,570th place
1,515th place
84th place
low place
958th place
1st place
1st place
2,131st place
128th place
low place
low place
low place
low place
8,898th place
710th place
low place
3,446th place
low place
low place
low place
low place
321st place
31st place
1,151st place
1,345th place
8,480th place
999th place
681st place
973rd place
363rd place
23rd place
5,741st place
320th place
575th place
33rd place
low place
1,198th place
low place
low place
low place
2,953rd place
2,038th place
130th place
7,048th place
907th place

alaindebenoist.com

  • Un des éléments sous-tendant cette recherche d'alliance est l'opposition radicale à l'Occident (conçu à la fois comme bloc et comme concept), dangereux tant pour l'Europe que pour le Tiers monde d'après Alain de Benoist, qui le désigne comme ennemi principal : « Ce qui menace aujourd’hui le plus l’Europe, ce n’est ni l’islam, ni l’islamisme ni le “choc des civilisations”. C’est l’Occident lui-même, dont l’être se réduit de plus en plus à la logique de la marchandise et à la réification des rapports sociaux. J’ai plusieurs fois employé l’expression de “Forme-Capital”, qui avait été lancée par Gérard Granel. Cette expression va très au-delà du capitalisme au sens étroit du terme. Elle définit le capital en tant que déstructuration généralisée de l’imaginaire symbolique, en tant qu’avènement d’un idéal de l’illimité (ce que Heidegger appelait le Gestell) dont la mise en œuvre entraîne de telles modifications anthropologiques qu’elle peut aboutir à l’effacement de l’humain comme tel. Je ne vois pas aujourd’hui d’ennemi plus puissant. C’est donc pour moi l’ennemi principal. » Cet entretien publié sur internet(2005).
  • À plusieurs reprises, Alain de Benoist a expliqué en quoi il différait de la droite et de l'extrême droite et divergeait par rapport à elles. Citons, à titre d'exemples, l'entretien paru en 2005 dans le numéro 118 d’Éléments, ainsi que l'émission Regarde les hommes changer du , au cours de laquelle Frédéric Taddeï parle avec Benoist de son parcours.
  • Si d'aucuns, tel le romancier Didier Daeninckx, ont dénoncé en Alain de Benoist un « nazi masqué ». Jacques Julliard, commentant en termes élogieux une préface d'Alain de Benoist, s'est ému qu'on ait fait de ce dernier « le réprouvé de nos lettres » (sur LCI, le 12 juillet 2007). Pour Anne-Marie Duranton-Crabol, Alain de Benoist est « à la fois le maître à penser de la Nouvelle Droite et un philosophe auquel son non-conformisme vaut des marques de reconnaissance dans des sphères très éloignées de l'extrême droite » ; Duranton Crabol 2009 . De fait, ce dernier est, davantage qu'en France, cité en Italie, où il entretient un dialogue cordial avec des intellectuels d'extrême gauche : d'après le sociologue italien Carlo Gambescia, dans un entretien accordé à Éléments (no 127, hiver 2008) : « Quant à l'influence d'Alain de Benoist en Italie, je la mettrais au même rang que celle qu'a eue voilà plus d'un siècle un autre grand penseur politique français, Georges Sorel : […]. De même que Sorel influença, fût-ce de manière critique, Antonio Gramsci […], de même peut-on retrouver — en ligne directe ou indirecte, c'est encore difficile à dire —, des traits de la pensée d'Alain de Benoist chez des penseurs de gauche comme Pietro Barcellona, Costanzo Preve ou Danilo Zolo ». Sur les rapports intellectuels entre Benoist et Preve, on se reportera aux conversations publiées dans Éléments (no 115 et 116) : partie 1 ; partie 2.
  • Les dialogues avec ce courant donnent souvent lieu à de vives polémiques. Ainsi, Dominique Venner ayant interpellé Alain de Benoist à propos de sa lecture de l'histoire de la droite, ce dernier a répliqué par une sévère critique des droites et de l'analyse de Venner (cf. « La droite en questions », Éléments, no 119, hiver 2005-2006). De tels échanges sont aussi parfois - ainsi qu'en témoigne cet entretien avec Terre et Peuple -, l'occasion pour Alain de Benoist de réfuter les convictions de ses interlocuteurs.
  • Selon Pierre-André Taguieff (op. cit.), la découverte (aux alentours de 1979-1982), de la pensée d'Heidegger a permis à Alain de Benoist de dépasser son nietzschéisme de jeunesse et « [d'atteindre] ce qu'il est convenu d'appeler la maturité intellectuelle. » Cf. sur ce point « Heidegger, critique de Nietzsche. Volonté de puissance et métaphysique de la subjectivité ».
  • Alain de Benoist voit dans l'immigration la conséquence d'une marchandisation/réification de l'humanité contraignant des peuples à s'arracher de leur terre pour fuir la misère, mais aussi l'instrumentalisation xénophobe dont le phénomène fait l'objet. La réponse qu'il fit à une question d'un journaliste de Junge Freiheit (parue dans l'édition du de cet hebdomadaire, l'intégralité de l'entrevue étant reprise dans C'est-à-dire, Les Amis d'Alain de Benoist, 2006) constitue un résumé de sa position :

    « […] Les partis politiques spécialisés dans la dénonciation anti-immigrés ne sont rien d'autre que des partis démagogiques petits-bourgeois, qui essaient de capitaliser sur les peurs et les misères du monde actuel en pratiquant la politique du bouc émissaire. L'expérience historique nous a montré vers quoi conduisent de pareils joueurs de flûte ! Il faut ici distinguer l'immigration et les immigrés. L'immigration est un phénomène négatif, puisqu'elle est elle-même le fruit de la misère et de la nécessité, et les sérieux problèmes qu'elle pose sont bien connus. Il est donc nécessaire de chercher, sinon à la supprimer, du moins à lui enlever le caractère trop rapide et trop massif qui la caractérise actuellement. Il est bien évident qu'on ne résoudra pas les problèmes du Tiers-monde en conviant ses populations à venir en masse s'installer dans les pays occidentaux ! En même temps, il faut avoir une vue plus globale des problèmes. Croire que c'est l'immigration qui porte principalement atteinte à l'identité collective des pays d'accueil est une erreur. Ce qui porte atteinte aux identités collectives, c'est d'abord la forme d'existence qui prévaut aujourd'hui dans les pays occidentaux et qui menace de s'étendre progressivement au monde entier. Ce n'est pas la faute des immigrés si les Européens ne sont plus capables de donner au monde l'exemple d'un mode de vie qui leur soit propre ! L'immigration, de ce point de vue, est une conséquence avant d'être une cause : elle constitue un problème parce que, face à des immigrés qui ont souvent su conserver leurs traditions, les Occidentaux ont déjà choisi de renoncer aux leurs. L'américanisation du monde, l'homogénéité des modes de production et de consommation, le règne de la marchandise, l'extension du marché planétaire, l'érosion systématique des cultures sous l'effet de la mondialisation entament l'identité des peuples beaucoup plus encore que l'immigration. […] »

    Sur la question, cf. également « L'immigration autrement ».

  • Cf. « Contre tous les racismes », art. cit., et, plus représentatif de son approche actuelle, « Qu'est-ce que l'identité ? »
  • S'intéressant à la question écologique dans ses implications philosophiques (cf. par exemple « La nature et sa “valeur intrinsèque” »), Alain de Benoist s'est, depuis la parution du no 119 d'Éléments (hiver 2006), affirmé comme un des penseurs de la décroissance, — y consacrant notamment un ouvrage en 2007 —, ce qui a suscité une polémique parmi les partisans de celle-ci. Pour une analyse critique des théories d’Alain de Benoist, cf. Jean-Louis Prat, « La décroissance est-elle réactionnaire ? », Revue du Mauss permanente, 10 avril 2008.
  • À travers plusieurs analyses et articles, Alain de Benoist a entrepris de saper l'édifice théorique du néolibéralisme (cf. par exemple « Contre Hayek »). Il va même jusqu'à voir dans les traductions actuelles du capitalisme libéral une réalisation des intentions totalitaires plus achevée encore que celles du communisme soviétique et du national-socialisme : lire à ce sujet « À propos du totalitarisme » (2004).

bnf.fr

catalogue.bnf.fr

data.bnf.fr

buzzfeed.com

cairn.info

  • Razmig Keucheyan, Alain de Benoist, du néofascisme à l'extrême droite “respectable”, Paris, La Découverte, , 160 p. (ISBN 9782707193988, lire en ligne), p. 128-143
  • Nicolas Lebourg, « La diffusion des péjorations communautaires après 1945, Abstract », Revue d'éthique et de théologie morale, no 267,‎ , p. 35–58 (ISSN 1266-0078, DOI 10.3917/retm.267.0035, lire en ligne, consulté le )
  • Sylvain Laurens, « Le Club de l'horloge et la haute administration : promouvoir l'hostilité à l'immigration dans l’entre-soi mondain », Agone no 54, 2014, p. 90 (lire en ligne).
  • Razmig Keucheyan, « Alain de Benoist, du néofascisme à l’extrême droite « respectable ». Enquête sur une success story intellectuelle », Revue du Crieur, vol. 6, no 1,‎ , p. 128 (ISSN 2428-4068 et 2649-7565, DOI 10.3917/crieu.006.0128, lire en ligne, consulté le )
  • Sylvain Crépon, « Anti-utilitarisme et déterminisme identitaire - Le cas de l'extrême droite contemporaine », Revue du MAUSS,‎ (lire en ligne)

causeur.fr

chez.com

nonguerre.chez.com

doi.org

dx.doi.org

  • Nicolas Lebourg, « La diffusion des péjorations communautaires après 1945, Abstract », Revue d'éthique et de théologie morale, no 267,‎ , p. 35–58 (ISSN 1266-0078, DOI 10.3917/retm.267.0035, lire en ligne, consulté le )
  • Razmig Keucheyan, « Alain de Benoist, du néofascisme à l’extrême droite « respectable ». Enquête sur une success story intellectuelle », Revue du Crieur, vol. 6, no 1,‎ , p. 128 (ISSN 2428-4068 et 2649-7565, DOI 10.3917/crieu.006.0128, lire en ligne, consulté le )
  • Pierre-André Taguieff, « Origines et métamorphoses de la nouvelle droite », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, vol. 40, no 1,‎ , p. 3–22 (DOI 10.3406/xxs.1993.3005, lire en ligne, consulté le )

franceculture.fr

francetvinfo.fr

free.fr

michel.delord.free.fr

  • En septembre 1993, dans un éditorial d’Éléments titré « Maccarthysme : le retour », « Robert de Herte » (Alain de Benoist) écrivait :

    « Sait-on qu'il y a maintenant des “samizdats” qui fleurissent à Paris, sur le modèle de ceux qui circulaient clandestinement en Russie à l'époque soviétique ? C'est un signe des temps. À l'Est, on peut aujourd'hui tout dire. À l'Ouest, et singulièrement en France, la machine à ostraciser étend son emprise par cercles concentriques. Les grands journaux n'en forment déjà plus qu'un, les chaînes de télévision n'en font plus qu'une, les principaux partis politiques ont tous le même programme. Partout se met en place le système de la pensée unique… »

    Cinq ans plus tard, il revenait, dans un nouvel éditorial, sur la signification et les manifestations de cette « pensée unique » : « Une société de clones », Éléments, no 88, 3 avril 1997.

geocities.com

es.geocities.com

  • Pierre-André Taguieff a contesté les accusations de « nazisme déguisé » amplifiées par cette publication dans un article paru aux États-Unis (et dans son livre cité plus haut) : « […] Que le père, désormais décédé, de l'un de ses éditeurs allemands (Grabert-Verlag) ait été nazi [ne suffit pas] à établir son identité [celle de Benoist] de “nazi masqué” […] ». (Pierre-André Taguieff, (en) « Discussion or Inquisition? The case of Alain de Benoist », Telos, op. cit.). De son côté, Alain de Benoist a, dans les mêmes colonnes, répondu à ces accusations, évoquant plusieurs de leurs déclinaisons (traduction de l'anglais) : « […] Mes livres ont été traduits en six ou sept langues et par plus de quinze éditeurs étrangers (dont cinq en Allemagne). Certains se focalisent sur le seul livre qu’ils peuvent instrumentaliser (c’est-à-dire celui publié chez Grabert Verlag) et oublient les autres. Je suis un journaliste, et une partie de mon travail consiste à rencontrer, à m’associer avec plusieurs personnes. J’ai des relations et des amis de différentes convictions politiques. Les gens malhonnêtes sélectionnent les noms qu’ils peuvent utiliser, même s’ils ne sont que dix ou quinze, et ignorent les autres, même s’ils sont cent. Ils ne prêtent pas attention à ce qui est publié dans Nouvelle École, mais se concentrent sur ce que deux ou trois collaborateurs ont fait ou dit indépendamment de leur participation au journal. Il n’est pas besoin de discuter plus avant ce genre de méthodes. Ces gens ne représentent qu’eux-mêmes. Je ne sélectionne pas mes éditeurs (ils achètent les droits de mes livres et négocient directement avec mes éditeurs français). Être publié par tel éditeur n’implique pas adhésion au contenu de tout ce qu’il publie. […] » (Interview with Telos, art. cit.).

google.fr

books.google.fr

grece-fr.net

  • En 1974, Alain de Benoist écrivait : « À supposer que l'Europe veuille voir se briser la bipolarité née de Yalta qui l'empêche de trouver son unité, ce n'est pas vers les deux superpuissances qu'elle devra se tourner dans les années qui viennent mais bien vers la nation arabe et le peuple chinois, seules forces montantes susceptibles de restituer au jeu mondial des influences sa nécessaire pluralité », « Contre tous les racismes », Éléments, no 8-9, novembre 1974.
  • Alain de Benoist a manifesté un intérêt pour la pensée de Marx (tendance concrétisée en 2004, à la faveur de la réalisation pour Éléments d'un dossier sur l'auteur du Capital) dont il a reconsidéré l'actualité. « Marx, dit-il, n'a pas seulement été l'un des premiers à expliquer de façon convaincante comment le capitalisme organise l'expropriation des producteurs sur laquelle il se fonde, il a surtout été celui qui, de manière véritablement géniale, a compris que le système capitaliste est un système anthropologique — ce que j'appelle moi-même la Forme-Capital — plus encore qu'un système purement économique. » (Rébellion, no 26, septembre-octobre 2007). On lira également son éditorial ouvrant le numéro d'Éléments consacré au penseur allemand.
  • La publication en 1981 de Comment peut-on être païen ? a fait d'Alain de Benoist l'un des rares auteurs à proposer une interprétation philosophique du paganisme antique. Il s'agit dans sa perspective d'y avoir recours et non d'y faire retour : le paganisme d'Alain de Benoist ne consiste pas en une croyance dans la réalité des panthéons européens, mais en la recherche d'une vue-du-monde (Weltanschauung) proprement païenne. S'agissant de ce qui, selon le penseur, fait la singularité païenne, se reporter à « La religion de l'Europe », texte paru, un an avant son livre sur le sujet, dans la revue Éléments.
  • Cf. « Contre tous les racismes », art. cit., et, plus représentatif de son approche actuelle, « Qu'est-ce que l'identité ? »
  • L'antiaméricanisme est, pour Pierre-André Taguieff (op. cit.), la « passion négative » d'Alain de Benoist, qui, par sa radicalité (cf. notamment Orientations pour des années décisives, Labyrinthe, 1982), lui a fait perdre, au tournant des années 1980, toute « respectabilité » dans les milieux de droite conservateurs, anticommunistes et libéraux (ainsi son exclusion de la presse Bourgine), sans pour autant lui attirer les bonnes grâces de la gauche : « Qu'Alain de Benoist ait payé un tel prix pour le maintien de ses positions sur les États-Unis et le communisme [entre lesquels il refusait de choisir] est un indicateur de ce que, pour cet intellectuel atypique, les “idées” comptent. Étrangement, ce théoricien de la “stratégie culturelle” s'est, au moins sur ce point, montré bien peu, ou fort mauvais, stratège. Comme si la logique de l'idée avait chassé les considérations d'opportunité, comme si l'idéologique avait fait oublier le pragmatique. » Pour nuancer cet « anti-américanisme », cf. « L'Amérique qu'on aime », Éléments, no 116, printemps 2005.

hautetfort.com

rebellion.hautetfort.com

  • Alain de Benoist a manifesté un intérêt pour la pensée de Marx (tendance concrétisée en 2004, à la faveur de la réalisation pour Éléments d'un dossier sur l'auteur du Capital) dont il a reconsidéré l'actualité. « Marx, dit-il, n'a pas seulement été l'un des premiers à expliquer de façon convaincante comment le capitalisme organise l'expropriation des producteurs sur laquelle il se fonde, il a surtout été celui qui, de manière véritablement géniale, a compris que le système capitaliste est un système anthropologique — ce que j'appelle moi-même la Forme-Capital — plus encore qu'un système purement économique. » (Rébellion, no 26, septembre-octobre 2007). On lira également son éditorial ouvrant le numéro d'Éléments consacré au penseur allemand.

ina.fr

inrer.org

issn.org

portal.issn.org

  • Nicolas Lebourg, « La diffusion des péjorations communautaires après 1945, Abstract », Revue d'éthique et de théologie morale, no 267,‎ , p. 35–58 (ISSN 1266-0078, DOI 10.3917/retm.267.0035, lire en ligne, consulté le )
  • Razmig Keucheyan, « Alain de Benoist, du néofascisme à l’extrême droite « respectable ». Enquête sur une success story intellectuelle », Revue du Crieur, vol. 6, no 1,‎ , p. 128 (ISSN 2428-4068 et 2649-7565, DOI 10.3917/crieu.006.0128, lire en ligne, consulté le )

journaldumauss.net

kelebekler.com

  • Si d'aucuns, tel le romancier Didier Daeninckx, ont dénoncé en Alain de Benoist un « nazi masqué ». Jacques Julliard, commentant en termes élogieux une préface d'Alain de Benoist, s'est ému qu'on ait fait de ce dernier « le réprouvé de nos lettres » (sur LCI, le 12 juillet 2007). Pour Anne-Marie Duranton-Crabol, Alain de Benoist est « à la fois le maître à penser de la Nouvelle Droite et un philosophe auquel son non-conformisme vaut des marques de reconnaissance dans des sphères très éloignées de l'extrême droite » ; Duranton Crabol 2009 . De fait, ce dernier est, davantage qu'en France, cité en Italie, où il entretient un dialogue cordial avec des intellectuels d'extrême gauche : d'après le sociologue italien Carlo Gambescia, dans un entretien accordé à Éléments (no 127, hiver 2008) : « Quant à l'influence d'Alain de Benoist en Italie, je la mettrais au même rang que celle qu'a eue voilà plus d'un siècle un autre grand penseur politique français, Georges Sorel : […]. De même que Sorel influença, fût-ce de manière critique, Antonio Gramsci […], de même peut-on retrouver — en ligne directe ou indirecte, c'est encore difficile à dire —, des traits de la pensée d'Alain de Benoist chez des penseurs de gauche comme Pietro Barcellona, Costanzo Preve ou Danilo Zolo ». Sur les rapports intellectuels entre Benoist et Preve, on se reportera aux conversations publiées dans Éléments (no 115 et 116) : partie 1 ; partie 2.

lanef.net

lemonde.fr

lepoint.fr

liberation.fr

liberation.fr

oeilsurlefront.liberation.fr

  • « La culture Alt-Right : de l’extrême droite française à «Fight Club» - Œil sur le front », L'Oeil sur le Front,‎ (lire en ligne, consulté le )

lopinion.fr

  • « «Marine Le Pen n’a pas liquidé la pensée d’extrême-droite. Elle l’a rendue plus solide» », L'Opinion,‎ (lire en ligne, consulté le )

marianne.net

monde-diplomatique.fr

  • Rachel Knaebel, « Allemagne : comment la droite mène la bataille des idées », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne, consulté le )

nouvelobs.com

bibliobs.nouvelobs.com

  • « Michel Onfray et les "idées justes" d’Alain de Benoist », Bibliobs,‎ (lire en ligne, consulté le )

persee.fr

phdn.org

regards.fr

revue-krisis.com

sciencespo.fr

slate.fr

sudoc.fr

  • Philippe Lamy (sous la dir. de Claude Dargent), Le Club de l'horloge (1974-2002) : évolution et mutation d'un laboratoire idéologique (thèse de doctorat en sociologie), Paris, université Paris-VIII, , 701 p. (SUDOC 197696295, lire en ligne), p. 86, n. 1.
  • (SUDOC 013377795).
  • (SUDOC 001500406).

tempspresents.com

  • « Entretien avec Stéphane François », CQFD, no 124,‎ , p. 12-13 (lire en ligne).

theses.fr

  • Philippe Lamy (sous la dir. de Claude Dargent), Le Club de l'horloge (1974-2002) : évolution et mutation d'un laboratoire idéologique (thèse de doctorat en sociologie), Paris, université Paris-VIII, , 701 p. (SUDOC 197696295, lire en ligne), p. 86, n. 1.

web.archive.org

whoswho.fr

wikipedia.org

en.wikipedia.org