Philippe Chain, « Coupe de France. Alan Stivell fait acclamer le « Bro Gozh » et la Bretagne par plus de 80 000 personnes au stade de France », Agence Bretagne Presse et Paris Breton, (lire en ligne)
Philippe Argouarch, « Nouvelles d'Alan Stivell : des concerts en Bretagne et un nouveau Cd-Dvd », ABP, (lire en ligne)
Patrick Lavaud, « 7 000 personnes autour d'Alan Stivell », Centre Presse, (lire en ligne) : « ...toutes les influences les plus éclectiques possibles » car le chanteur a tenu à le rappeler « la diversité est importante pour la pensée » »
Valérie Rouvière, Le mouvement folk en France (1964-1981), (lire en ligne), p. 19
Valérie Rouvière, Le mouvement folk en France (1964-1981), (lire en ligne), p. 27-30, « Querelles de chapelles » et « Le spectre de la récupération »
Valérie Rouvière, Le mouvement folk en France (1964-1981), (lire en ligne), p. 31 : « Alan Stivell chante dans sa langue maternelle et joue des airs de sa région pour que « les Bretons retrouvent leur dignité d’homme, demandent le droit d’être responsables de leurs affaires, de leur pays et de leur vie... » »
« Source jaillissante », comme un désir de retour aux sources qui sert à puiser de l'énergie pour aller de l'avant, car sa musique se voulait aussi source nouvelle (Alan Stivell, « Autobio : de 1970 à 1975 », sur Blog officiel, ). « Cette musique s'écoule de sa harpe enchanteresse en ruisselets limpides et cristallins comme une source. »Alan Stivell ou le folk celtique, p. 37
Kate Bush, qui écoutait les disques d'Alan Stivell appartenant à son frère Paddy et qui l'avait vu à l'émission de la BBCThe Old Grey Whistle Test interprétant Kimiad, aurait souhaité faire appel à lui quelques années plus tard sur son album. Au moment où, cherchant à le joindre et en parlant à son ingénieur du son Del Palmer, elle reçoit une lettre du harpiste lui disant qu'il aimait sa voix et sa musique. (« Témoignage d'Alan Stivell », sur forum officiel,
En « échange » de la participation d'Alan, Kate Bush participe à The Mist of Avalon. Ils réalisent une maquette de La dame du lac mais l'autorisation de la part de la maison de disque tarde à arriver, ce qui retarde la sortie de l'album débuté en 1985-86 mais permis l'écriture de textes par ou avec son frère John Calder Bush. Ce n'est que dans Again qu'il a le droit d'utiliser l'autre travail avec Kate, Kimiad, qu'elle avait découvert à une émission britannique. (« Témoignage d'Alan Stivell », sur forum officiel, )
« Je n'ai jamais adhéré à aucun parti. Je pense que, si je peux avoir un rôle, ce n'est pas à l'intérieur d'un parti politique. Mais ceci est un cas particulier : le mien. Cela ne m'empêche pas d'aider, chaque fois que je le peux, les gens dont j'estime l'action. C'est souvent le cas pour l'Union démocratique bretonne (avec parfois des divergences, normal). », Alan Stivell, « Société », Forum officiel, sur Alanstivell.com, (consulté le )
Alan Stivell, « Tchat avec les internautes », sur forum officiel, (consulté le ). Également dans Telenn la Harpe Bretonne, p. 118 : (« Kantadenn Penn ar Bed de Jef ar Penven, audition qui suscita en moi un vrai délire, peu avant le même enthousiasme pour la démarche parallèle de l'Irlandais Seán Ó Riada »)
« Kevelloù / news », sur alan-stivell.discuforum.info, (consulté le )
Alan Stivell, « Éléments basiques », sur Blog officiel, (consulté le )
« Quel intérêt de tuer la culture bretonne ? », sur son forum officiel, (consulté le ) : « La France, à travers ses dirigeants (les exceptions sont bien rares), est mue par le réflexe animal le plus basique et primaire : un instinct où la survie se comprend avant tout par l'élimination de l'autre, perçu comme concurrent. »
Alan Stivell, « La Bretagne », sur Blog officiel, (consulté le )
Xavier Grall cité dans « Alan Stivell », sur errances.info, (consulté le ) (extrait de Le cheval couché p. 187) et Article Xavier Grall, « Le retour d'Alan », Breizh, (lire en ligne)
(en) Lutz D. Schmadel, Dictionary of Minor Planet Names, Springer Science & Business Media, (ISBN9783642297182, lire en ligne)
harpographie.net
Cécile Corbel (« Elle soutient que chaque harpiste actuel doit normalement se reconnaître dans ce pionnier et inspirateur. », « Cécile Corbel », sur Harpographie, ), Cathy Ytak (« J'ai découvert Alan Stivell avec son disque Renaissance de la harpe celtique […] Sans lui, je ne jouerais pas de harpe celtique », Bourdelas 2012, p. 166), Virginie Le Furaut (Bourdelas 2012, p. 95-96), Loreena McKennitt (Les Cochevelou et la renaissance de la musique celtique, p. 63 et sur le site Innerviews), Myrdhin (Thèse interceltisme, p. 500), le Paraguayen Robert Hart (« This music enchanted me. Eventually the desire to play the harp arose... » dans sa biographie), Christy Marx (« I was once at a wedding and I heard the most magical music of all time. I followed to the source and discovered it was an album of Alan Stivell, The renaissance of the Celtic Harp » dans une interview en 1988), la harpiste américaine Jo Morrison (« Alan Stivell could easily be called both the father of modern Celtic music and the person who started the rebirth of the Celtic harp » sur le site Rambles en 2001).
« La symphonie celtique d'Alan Stivell : première création mondiale », Breizh, no 259, (lire en ligne), l'article parle de moyens « fantastiques » et « grandioses » : orchestre symphonique dirigé par James Moeau, directeur de l'école de musique de Lorient, chœurs dirigés par Odette Carado, cinq pipe bands, deux bagadoù, la formation rock de Stivell (plus Narendra Bataju, joueur de sitar et Djourha, les chanteuses berbères du trio Djurdjura), 28 techniciens, une sono de 20 000 watts (120 micros), 100 000 watts d'éclairage.
« Maintenant que je suis une « vedette », certains me traitent de « récupéré ». On ne s'en sort plus […] Car ce n'est pas en restant dans l'ombre, ignoré, qu'un artiste peut imposer ses idées. C'est en allant de l'avant. C'est en étant un personnage dont on parle. […] J'appartiens à une civilisation et à une époque. […] Ma musique est politique parce qu'elle est une réaction contre le colonialisme d'un gouvernement. […] Je n'appartiens à aucun parti. Je ne veux d'ailleurs pas faire de parisianisme. […] Je suis politique parce que je chante une musique qui est celle d'un peuple précis. Et avec cela je vais plus loin que celui qui lève le poing en chantant « contre » au moindre prétexte. », Jean-Louis Guitard, « Alan Stivell chez lui », Le disque, no 15, , p. 29 (lire en ligne) (« une » et reportage photos à Langonnet)
« La harpe enchantée », Le Progrès, (lire en ligne) : « À mon avis, toutes les musiques de la planète peuvent fusionner entre elles. Le mélange des genres musicaux n'a pas de limites. »
Xavier Grall cité dans « Alan Stivell », sur errances.info, (consulté le ) (extrait de Le cheval couché p. 187) et Article Xavier Grall, « Le retour d'Alan », Breizh, (lire en ligne)
France 2, « Parlement/Stivell », sur INA, (consulté le ) (3 500 spectateurs avec Dan ar Braz, Gilles Servat, Denez Prigent, Erik Marchand, l'Orchestre de Bretagne)
France 3 National, « Alan Stivell en concert », sur INA, 19/20, (consulté le ), Reportage à la veille de sa tournée. Chez lui à Carnac il déclare : « Ici il y a un côté mystique. Les couleurs, les éléments, la mer, le rythme aussi m'inspirent beaucoup. Je suis quand même très influencé par l'aquatique », extrait d'un concert avec EV (groupe) + Interview de Guillaume Saint-James
Cécile Corbel (« Elle soutient que chaque harpiste actuel doit normalement se reconnaître dans ce pionnier et inspirateur. », « Cécile Corbel », sur Harpographie, ), Cathy Ytak (« J'ai découvert Alan Stivell avec son disque Renaissance de la harpe celtique […] Sans lui, je ne jouerais pas de harpe celtique », Bourdelas 2012, p. 166), Virginie Le Furaut (Bourdelas 2012, p. 95-96), Loreena McKennitt (Les Cochevelou et la renaissance de la musique celtique, p. 63 et sur le site Innerviews), Myrdhin (Thèse interceltisme, p. 500), le Paraguayen Robert Hart (« This music enchanted me. Eventually the desire to play the harp arose... » dans sa biographie), Christy Marx (« I was once at a wedding and I heard the most magical music of all time. I followed to the source and discovered it was an album of Alan Stivell, The renaissance of the Celtic Harp » dans une interview en 1988), la harpiste américaine Jo Morrison (« Alan Stivell could easily be called both the father of modern Celtic music and the person who started the rebirth of the Celtic harp » sur le site Rambles en 2001).
irenefrain.com
Irène Frain, « Le 9 novembre 1965, le jour où j'ai eu l'idée du rock celtique », Paris Match, (lire en ligne)
istorhabreiz.fr
Gérard Boulé, « Entretien avec Glenmor », sur Istor Ha Breiz, Histoire & Bretagne..., (consulté le )
Cécile Guthleben, « Nolwenn Leroy, pour l’amour de la Bretagne », L'Alsace.fr, (lire en ligne) : « C’est quelqu’un de très généreux. Pour moi, chanter avec lui c’est comme chanter avec Mick Jagger pour qui serait fan de rock. »
« Un petit bijou de musiques réunifiant l'Orient et l'Occident, qui répondent toutes au concept du chantre de la celtitude : « Une modernité sans réserve sur la base de racines musicales profondes » » selon Martine Lachaud, « article Alan Stivell », L'Express, (lire en ligne)
Vanessa Ferrere, « Alan Stivell : « La Bretagne est un compromis entre l'Occident et l'Orient » », L'Express, (lire en ligne)
(en) « The album Renaissance of the Celtic Harp by Breton harper Alan Stivell was a big milestone for me », le facteur de flûtes Tony Dixon dans son autobiographie sur le site d'Oliver Wakeman
TSW, « témoignage du trio Bulgarka », UCSD Guardian, (lire en ligne) : « There are a few noteworthy guest appearances on the album. […] Alan Stivell, world-renowned heir of the authentic Celtic harp and barding tradition, lends his ancient instrument on two songs. »
Explication par Jean-Paul Liégeois du succès de Stivell par rapport aux autres chanteurs bretons : « la chanson revendicative ne convainc que les convaincus d'avance, ceux qui viennent l'entendre comme on se regarde dans un miroir ; par contre, l'authenticité, cette manière de montrer qu'on est réellement différent – en chantant en breton, dans le cas de Stivell – fini toujours par payer et séduire. Ce simple constat a plus de retombées politiques qu'on ne pense : sauvegarder l'identité bretonne ne veut pas dire s'enflammer « en français contre l'impérialisme français ». »« Stivell: Ça barde ! », L'Unité, , p. 26-27 (lire en ligne)
« Prix Bro Gozh », sur Comité Bro Gozh ma Zadoù (consulté le )
rambles.net
Cécile Corbel (« Elle soutient que chaque harpiste actuel doit normalement se reconnaître dans ce pionnier et inspirateur. », « Cécile Corbel », sur Harpographie, ), Cathy Ytak (« J'ai découvert Alan Stivell avec son disque Renaissance de la harpe celtique […] Sans lui, je ne jouerais pas de harpe celtique », Bourdelas 2012, p. 166), Virginie Le Furaut (Bourdelas 2012, p. 95-96), Loreena McKennitt (Les Cochevelou et la renaissance de la musique celtique, p. 63 et sur le site Innerviews), Myrdhin (Thèse interceltisme, p. 500), le Paraguayen Robert Hart (« This music enchanted me. Eventually the desire to play the harp arose... » dans sa biographie), Christy Marx (« I was once at a wedding and I heard the most magical music of all time. I followed to the source and discovered it was an album of Alan Stivell, The renaissance of the Celtic Harp » dans une interview en 1988), la harpiste américaine Jo Morrison (« Alan Stivell could easily be called both the father of modern Celtic music and the person who started the rebirth of the Celtic harp » sur le site Rambles en 2001).
reportouest.fr
Thibault Courcelle, « Le rôle de la presse quotidienne régionale bretonne dans la création d’une « identité bretonne » : étude comparative de Ouest-France et du Télégramme », Hérodote, revue de géographie et de géopolitique, La Découverte, no 110 « Les pouvoirs locaux, l'eau, les territoires », (lire en ligne)