« Il n'a jamais travaillé de sa vie. Toujours sapé comme un prince, il ne lisait rien, sauf le journal. La nuit, lorsqu'il me trouvait en train de lire des romans, il me disait: « Tu vas perdre la vue ». Quand un critique littéraire a écrit un article sur mon premier recueil, il m'a dit: « Il y a des fous encore plus fous que toi et qui écrivent sur toi » (Cossery ). Dernier dandy à Paris, Libération, .
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Texte aujourd'hui introuvable en français pour cause de non-réédition. Trois de ces poèmes ont néanmoins été republiés en 1955 dans l'anthologie de Jean Moscatelli Poètes en Égypte (éditions L'Atelier, Le Caire, 1955) et traduits en anglais par Jocelyn Spaar dans The Paris Review en 2013 (voir Teeth Marks: Three Early Poems by Albert Cossery, Anna Della Subin, The Paris Review, 3 décembre 2013).
Texte aujourd'hui introuvable en français pour cause de non-réédition. Trois de ces poèmes ont néanmoins été republiés en 1955 dans l'anthologie de Jean Moscatelli Poètes en Égypte (éditions L'Atelier, Le Caire, 1955) et traduits en anglais par Jocelyn Spaar dans The Paris Review en 2013 (voir Teeth Marks: Three Early Poems by Albert Cossery, Anna Della Subin, The Paris Review, 3 décembre 2013).