dont Uderzo a connait le travail par la revue Robinson, in Didier Pasamonik, Albert Uderzo : "J’ai travaillé énormément parce que c’était très mal rétribué." in 22 Interviews , 5 octobre 2012 (L’Agence BD), à lire sur https://www.actuabd.com/Albert-Uderzo-J-ai-travaille
(en) Hugh Schofield, « Should Asterix hang up his sword? », sur news.bbc.co.uk (BBC News) : « Les 10 albums subséquents furent non seulement dessinés, mais aussi écrits par Uderzo, et le déclin qualitatif a été drastique » (The subsequent 10 albums were not just drawn, but also written, by Uderzo, and the decline in quality has been drastic), « Depuis la mort de René Goscinny, c'est la lente descente aux enfers », dit Hugues Dayez, critique cinématographique belge et expert en bande dessinée (Since the death of Goscinny, it has been the slow descent into hell, says Hugues Dayez, Belgian film critic and comic-strip expert), « tout l’humour — la merveilleuse ironie — n'est plus là. Le génie a disparu » (all the humour - the wonderful irony - is no longer there. The genius has gone)
Clément Lemoine, « Astérix à l'ère du soupçon », sur neuvième art 2;0, La revue en ligne de la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image, (consulté le ).
Fin 2005, 3,2 millions d'exemplaires du Ciel lui tombe sur la tête ont été imprimés pour le marché francophone, dont 2,4 ont été vendus après deux mois. Gilles Ratier, 2005, l'année de la « Mangalisation » p. 4, Rapport annuel de l'ACBD, décembre 2005.
« Astérix et Obélix pleurent Charlie Hebdo », sur gqmagazine.fr, (consulté le ) : « Le dessin aurait à l'origine été réalisé pour rendre hommage à Goscinny, scénariste des aventures des héros gaulois disparu en 1977, mais il n'avait jamais été exploité. ».
« Albert Uderzo fait d'Astérix le défenseur des enfants », Le Monde, (lire en ligne)
leparisien.fr
« Astérix, un petit Gaulois né en région parisienne », Le Parisien, (lire en ligne).
« Albert Uderzo : "Je ne veux pas laisser Astérix entre d'autres mains" », sur Le Parisien, : « […] Je valide leurs idées. Ils ne font rien sans mon accord. […] Je ne sais pas si le prochain album [en 2019] sera le dernier, mais je ne pense pas qu'il y en aura beaucoup après… Je ne veux pas laisser Astérix entre d'autres mains après ma disparition. Je n'ai pas envie de prendre le risque de tout ficher en l'air, de faire n'importe quoi pour de l'argent. ».