(en) D. B. van Dorp, « Albinism, or the NOACH syndrome (the book of Enoch c.v. 1-20) », Clinical Genetics, vol. 31, no 4, , p. 228–242 (ISSN0009-9163, PMID3109790, lire en ligne, consulté le )
(en) D. B. van Dorp, « Albinism, or the NOACH syndrome (the book of Enoch c.v. 1-20) », Clinical Genetics, vol. 31, no 4, , p. 228–242 (ISSN0009-9163, PMID3109790, lire en ligne, consulté le )
(en) P. Froggatt, « The legend of a white native race », Medical History, , p. 228-235 (lire en ligne).
Richard Alan Lewis, GeneReviews(®), University of Washington, Seattle, (PMID20301345, lire en ligne)
Richard Alan Lewis, GeneReviews(®), University of Washington, Seattle, (PMID20301410, lire en ligne)
(en) Tamio Suzuki et Masahiro Hayashi, GeneReviews(®), University of Washington, Seattle, (PMID20301683, lire en ligne)
Richard Alan Lewis, GeneReviews(®), University of Washington, Seattle, (PMID20301517, lire en ligne)
Pline l'Ancien, Histoire naturelle, Livre V, chapitre VIII (lire en ligne) :
"Dans l'intérieur de l'Afrique, du côté du midi, au-dessus des Gétules, et après avoir traversé des déserts, on trouve d'abord les Libyégyptiens, puis les Leucéthiopiens ; plus loin, des nations éthiopiennes : les Nigrites, ainsi nommés du fleuve dont nous avons parlé (V, 4) ; les Gymnètes, les Pharusiens qui atteignent l'Océan, et les Pérorses que nous avons nommés (V, 1, 10), sur les confins de la Mauritanie. Tous ces peuples sont bornés du côté de l'orient par de vastes solitudes, jusqu'aux Garamantes, aux Augyles et aux Troglodytes. Rien n'est plus vrai que l'opinion de ceux qui placent au delà des déserts d'Afrique deux Éthiopies, et, avant tous, d'Homère (Odyssée,I, 23), qui divise en deux les Éthiopiens, ceux de l'orient et ceux du couchant."
(en) Jackson Landers, [Why White Tigers Should Go Extinct Everything you’ve been told about this exotic, royal, endangered species is wrong]. Paru dans Slate, le 13 décembre 2012.
Voltaire, Essai sur les mœurs, Chapitre CXLIII (lire en ligne) :
"Au milieu des terres de l’Afrique est une race peu nombreuse de petits hommes blancs comme de la neige, dont le visage a la forme du visage des nègres, et dont les yeux ronds ressemblent parfaitement à ceux des perdrix : les Portugais les nommèrent Albinos. Ils sont petits, faibles, louches. La laine qui couvre leur tête et qui forme leurs sourcils est comme un coton blanc et fin : ils sont au-dessous des nègres pour la force du corps et de l’entendement, et la nature les a peut-être placés après les nègres et les Hottentots, au-dessus des singes, comme un des degrés qui descendent de l’homme à l’animal. Peut-être aussi y a-t-il eu des espèces mitoyennes inférieures, que leur faiblesse a fait périr. Nous avons eu deux de ces Albinos en France ; j’en ai vu un à Paris, à l’hôtel de Bretagne, qu’un marchand de nègres avait amené. On trouve quelques-uns de ces animaux ressemblants à l’homme dans l’Asie orientale ; mais l’espèce est rare : elle demanderait des soins compatissants des autres espèces humaines, qui n’en ont point pour tout ce qui leur est inutile."