« ...elle avoit certains jours de la semaine destinez à recevoir le Monde dans son Alcove [sic] » (Antoine Furetière, Le Roman bourgeois : ouvrage comique, prémière édition 1666, réédition Amsterdam, chez Gérard Kuyper, 1704, p. 103.).
« Ne vous étonnez pas de ce mot d'alcôve : c'est une invention moderne, je vous l'avoue ; mais ne pouvait-elle pas être dès lors en l'esprit des fées ? Et ne serait-ce point de quelque description de ce palais que les Espagnols, les Arabes, si vous voulez, l'auraient prise ? » (La Fontaine, Les Amours de Psyché et de Cupidon, Livre I, 1669.).
« Le mot européen « alcôve » dérive du mot arabe al-qubba (coupole) قبة - طاقة qui, par extension, désigne une pièce au plan en T, déjà connu dans l’Antiquité et très diffusée dans les maisons maghrébines »Qantara