Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Alexandre Tansman" in French language version.
« Entre les deux guerres, les courants les plus significatifs de la musique contemporaine se sont cristallisés autour de deux pôles principaux, définis sommairement néoclassicisme et expressionnisme, et représentés respectivement par Igor Stravinsky et l'École de Vienne d'Arnold Schoenberg, Alban Berg et Anton von Webern. Une troisième force, dénommée « folklorique », s'est exprimée dans le génie multiple de Bela Bartok dont l'œuvre surpassait de loin cette définition limitée de « folklore ». Aussi schématique et arbitraire que puisse paraître cette classification, quelque peu restreinte et artificielle, elle présente néanmoins l'avantage d'être basée sur des notions d'ordre esthétique (où même l'utilisation des moyens d'expression a été déterminée par une discipline, une attitude objective ou subjective du créateur vis-à-vis de son art, le rôle de l'« ego personnel»), et non uniquement par des manifestations d'ordre purement technique (son écriture, son graphisme, une extériorisation à outrance allant jusqu'à l'exhibitionnisme). »
— Tansman, « Quelques Réflexions sur certains phénomènes équivoques de la musique contemporaine » 1966, publié dans Hugon 2005, p. 61-68.
« Entre les deux guerres, les courants les plus significatifs de la musique contemporaine se sont cristallisés autour de deux pôles principaux, définis sommairement néoclassicisme et expressionnisme, et représentés respectivement par Igor Stravinsky et l'École de Vienne d'Arnold Schoenberg, Alban Berg et Anton von Webern. Une troisième force, dénommée « folklorique », s'est exprimée dans le génie multiple de Bela Bartok dont l'œuvre surpassait de loin cette définition limitée de « folklore ». Aussi schématique et arbitraire que puisse paraître cette classification, quelque peu restreinte et artificielle, elle présente néanmoins l'avantage d'être basée sur des notions d'ordre esthétique (où même l'utilisation des moyens d'expression a été déterminée par une discipline, une attitude objective ou subjective du créateur vis-à-vis de son art, le rôle de l'« ego personnel»), et non uniquement par des manifestations d'ordre purement technique (son écriture, son graphisme, une extériorisation à outrance allant jusqu'à l'exhibitionnisme). »
— Tansman, « Quelques Réflexions sur certains phénomènes équivoques de la musique contemporaine » 1966, publié dans Hugon 2005, p. 61-68.
« Entre les deux guerres, les courants les plus significatifs de la musique contemporaine se sont cristallisés autour de deux pôles principaux, définis sommairement néoclassicisme et expressionnisme, et représentés respectivement par Igor Stravinsky et l'École de Vienne d'Arnold Schoenberg, Alban Berg et Anton von Webern. Une troisième force, dénommée « folklorique », s'est exprimée dans le génie multiple de Bela Bartok dont l'œuvre surpassait de loin cette définition limitée de « folklore ». Aussi schématique et arbitraire que puisse paraître cette classification, quelque peu restreinte et artificielle, elle présente néanmoins l'avantage d'être basée sur des notions d'ordre esthétique (où même l'utilisation des moyens d'expression a été déterminée par une discipline, une attitude objective ou subjective du créateur vis-à-vis de son art, le rôle de l'« ego personnel»), et non uniquement par des manifestations d'ordre purement technique (son écriture, son graphisme, une extériorisation à outrance allant jusqu'à l'exhibitionnisme). »
— Tansman, « Quelques Réflexions sur certains phénomènes équivoques de la musique contemporaine » 1966, publié dans Hugon 2005, p. 61-68.
« Entre les deux guerres, les courants les plus significatifs de la musique contemporaine se sont cristallisés autour de deux pôles principaux, définis sommairement néoclassicisme et expressionnisme, et représentés respectivement par Igor Stravinsky et l'École de Vienne d'Arnold Schoenberg, Alban Berg et Anton von Webern. Une troisième force, dénommée « folklorique », s'est exprimée dans le génie multiple de Bela Bartok dont l'œuvre surpassait de loin cette définition limitée de « folklore ». Aussi schématique et arbitraire que puisse paraître cette classification, quelque peu restreinte et artificielle, elle présente néanmoins l'avantage d'être basée sur des notions d'ordre esthétique (où même l'utilisation des moyens d'expression a été déterminée par une discipline, une attitude objective ou subjective du créateur vis-à-vis de son art, le rôle de l'« ego personnel»), et non uniquement par des manifestations d'ordre purement technique (son écriture, son graphisme, une extériorisation à outrance allant jusqu'à l'exhibitionnisme). »
— Tansman, « Quelques Réflexions sur certains phénomènes équivoques de la musique contemporaine » 1966, publié dans Hugon 2005, p. 61-68.